Recherche
15311 résultats correspondent à votre recherche.
Des représentants de la Communauté d’Agglomération Pays Basque se sont déplacés à Bruxelles le 2 avril dernier afin de participer au lancement de l’initiative SHARE portée par la Région Euskadi. L’objectif de cette initiative est de donner une tribune européenne aux autorités infranationales sur la question des migrations et de réfléchir à un mécanisme permettant une meilleure répartition territoriale pour l’accueil et l’intégration des migrants (en prenant en compte des critères tels que les recettes fiscales, la population et le taux de chômage). En février, Euskadi a été rejoint par la Navarre, la Catalogne et les Canaries, qui se sont engagés à promouvoir ensemble cette initiative, en particulier à Bruxelles. La rencontre du 2 avril s’est tenue à la Délégation du gouvernement basque et avait ainsi pour objectif de présenter le projet à d’autres collectivités infranationales européennes, mais également d’initier les échanges avec les institutions européennes, en particulier la Direction générale de la Commission européenne en charge des questions de migration, la DG HOME. L’initiative a par ailleurs déjà été présentée au Comité des Régions. La Région Nouvelle-Aquitaine était également présente et soutient cette réflexion innovante au regard de la situation en Europe.
En marge de cette réunion, les représentants de la Communauté d’Agglomération Pays Basque ont également rencontré deux fonctionnaires de la Direction générale Education, Audiovisuel, Culture (DG EAC) de la Commission européenne. Lors d’un premier temps d’échanges ont été évoquées les possibilités qu’offre le programme Europe Créative en matière de financement des projets culturels européens, notamment le soutien aux réseaux européens et aux projets de coopération transnationaux. Dans un second temps, une présentation a été faite des différents programmes européens à destination des jeunes: Erasmus+, qui finance des projets en matière d’éducation, de formation, de jeunesse et de sport; l’initiative DiscoverEU qui permet aux jeunes de 18 ans de décrocher des pass InterRail gratuits et ainsi voyager en Europe durant l’été; ou encore la possibilité de mener des activités de solidarité par le biais du volontariat, d’un stage ou d’un emploi dans le cadre du Corps européen de Solidarité.
Au cours de ces deux journées, les étudiants ont ainsi visité le Parlement européen et son hémicycle. La Députée européenne Karine Gloanec-Maurin (S&D, Massif-Centre) est également venue à leur rencontre afin d’échanger avec eux sur son rôle de parlementaire, sa vision de l’Europe, de l’actualité et des élections européennes à venir le 26 mai prochain. Autre visite au programme, celle de la Représentation permanente de la France auprès des institutions européennes où leur a été expliqué le travail mené par la France au sein du Conseil de l’Union européenne.
Accueillis dans les locaux de la Région Nouvelle-Aquitaine, les étudiants ont aussi rencontré différentes structures représentées au niveau européen. Outre la présentation des missions menées par le bureau de la Région Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles, les étudiants ont rencontré des représentants de Digital Europe, structure défendant les entreprises du numérique en Europe. Ils ont également eu un temps d’échanges avec la représentante à Bruxelles de l’association Surfrider Foundation Europe, qui lutte pour la protection des océans et du littoral et dont le siège social est situé à Biarritz.
Les nombreuses informations récoltées au cours de ce séjour à Bruxelles devraient permettre aux étudiants de préparer au mieux une "nouvelle" déclaration Schuman dans le cadre d’un concours organisé à Kedge le 24 mai prochain.
Ce partenariat public-privé créé par la Commission européenne en 2008 regroupe chercheurs et industriels du secteur de l’hydrogène et lance des appels à projets annuels afin de promouvoir la recherche et le développement des technologies liées à l’hydrogène. Ces appels, parfois transversaux, concernent aussi bien le secteur de l’énergie que celui des transports. La FCH-JU vise plus particulièrement à encourager la mise en œuvre de processus de production d’hydrogène à partir d’énergies renouvelables.
En s’associant à cette entreprise conjointe européenne, la Région Nouvelle-Aquitaine souhaite faire connaître de nouvelles opportunités de financement auprès des acteurs régionaux et favoriser le déploiement de l’hydrogène vert sur le territoire. La signature prochaine de cet accord lui permettra de rejoindre 92 collectivités territoriales déjà signataires, dont 10 françaises.

Qu’est-ce que l’Université des cadres (UDC) ? La Région professionnalise ses cadres pour les amener à assumer progressivement des responsabilités fortes de management et de conduite de projet grâce à son Université des cadres. Celle-ci regroupe vingt-quatre agents issus du siège du Conseil Régional (sites de Poitiers et Bordeaux), autour de deux promotions : une promotion managers en devenir et une promotion managers. Ils ont démarré un cycle de formation managérial dès le mois de janvier, complété par une approche innovante, le co-développement. L’UDC permet également de valoriser l’investissement des cadres autour de la réalisation d’un projet collectif concret et transversal ayant pour objectif de promouvoir les actions et politiques régionales.
Accueillis par l’équipe de la Région Nouvelle-Aquitaine, les participants ont pu échanger avec des membres du Parlement européen, de la Commission européenne, du Comité des Régions et de la Représentation de la France auprès des Institutions européennes.
Par exemple Jean-Marc Trarieux, Chef d’unité au sein de la Direction générale de l’Agriculture (DG AGRI) de la Commission européenne, après avoir présenté l’actualité et les enjeux agricoles de la politique commerciale de l’UE, est revenu sur le fonctionnement de sa direction et en particulier sur les questions liées à la gestion des ressources humaines et à la gestion d’une équipe au sein de la Commission. Il a également fait part de ses réflexions sur le rôle des parties prenantes dans la mise en œuvre des politiques européennes, soulignant l’importance pour les régions et leurs acteurs de participer aux consultations et de se positionner en interlocuteurs crédibles auprès de celle-ci.
Olivier Bailly, Chef de cabinet du Commissaire européen Pierre Moscovici, a accueilli la délégation au siège de la Commission européenne, le Berlaymont. Il a partagé avec le groupe son expérience de chef de cabinet (l’équivalent d’un directeur de cabinet en France), et a expliqué le mode de décision collégial de la Commission européenne.
François Arbault, Chef d'unité au sein de la Task-force 50 pour la préparation et la conduite des négociations avec le Royaume-Uni a évoqué son expérience des négociations liées au Brexit "de l'intérieur" et rappelé les différents scénarii toujours ouverts, à la veille du Conseil européen qui a depuis reporté le Brexit au 31 octobre prochain.
La Députée européenne Karine Gloanec-Maurin (S&D, Massif central-Centre), après avoir permis aux participants d’assister aux travaux parlementaires de la commission Agriculture, s’est entretenue avec eux sur le rôle d’un député européen et a présenté notamment ses travaux sur la future Politique Agricole Commune (PAC).
Enfin, le groupe a pu échanger avec Isabelle Boudineau, Vice-présidente à l’Europe et à l’International de la Région Nouvelle-Aquitaine, sur son rôle au sein du Comité européen des régions (voir autre article).
L’ensemble de ces échanges a permis d’appréhender le fonctionnement de l’Union dans sa complexité, d’en saisir les enjeux, et de faire le point sur l’avenir des politiques (cohésion et PAC en particulier) au service du développement de nos territoires.
La Nouvelle-Aquitaine connaît une popularité croissante en tant que destination touristique, avec une augmentation de 40% des arrivées de visiteurs étrangers ces 5 dernières années. La clientèle belge se classe première pour l’oenotourisme et les visiteurs néerlandais démontrent un engouement pour l’hôtellerie de plein air en Nouvelle-Aquitaine.
Constatant que la demande touristique évolue et se tourne de plus en plus vers le haut-de-gamme ainsi que l’écotourisme, le CRT-NA a souhaité présenter les différentes facettes du tourisme en Nouvelle-Aquitaine, la grande diversité de ses territoires et la capacité de la région à répondre aux nouvelles attentes des visiteurs.
Les participants ont ainsi pu rencontrer les représentants de Dordogne-Périgord Tourisme, Arcachon Expansion, Destination Île de Ré, Lascaux-Les Glycines Hôtel & Spa, Creuse Tourisme, Charentes Tourisme, La Rochelle Tourisme et Evènements et Médoc Atlantique. La société Thalys, également présente, a confirmé l’ouverture d’une ligne saisonnière Bruxelles-Bordeaux, qui sera en activité du 29 juin au 31 août prochain et qui permettra de rejoindre les deux villes en un peu plus de quatre heures.
Composé d’une vingtaine de questions, la consultation s’adresse notamment aux autorités publiques nationales, régionales ou locales; aux gestionnaires d’infrastructures ferroviaires ou routières; aux exploitants aéroportuaires, portuaires, de terminal ferroviaire ou de services de transport commerciaux (compagnie aérienne, compagnie maritime, compagnie de chemin de fer, entreprise de transport par autobus, entreprise de transport public); aux porteurs de projets dans les domaines des infrastructures et de la mobilité; aux usagers des transports et des infrastructures; aux fournisseurs de services logistiques; aux fournisseurs de services de mobilité (planification de parcours intégrée, billetterie, mobilité partagée, etc.); aux ONG et aux organismes de recherche et universités.
Le questionnaire porte sur l’ensemble du texte de 2013: la structure du RTE-T, c’est-à-dire les cartes des réseaux central et global (annexées au règlement), les relations entre eux, les nœuds urbains; les standards de qualité et de sécurité des infrastructures, en lien avec les évolutions liées à l’innovation (carburants alternatifs, transports autonomes et connectés, etc.); sur le rôle des coordinateurs européens et le fonctionnement des Corridors; la réponse aux besoins des usagers du réseau et des systèmes de transport, etc.
Pour la Commission européenne, l’objectif est de recueillir l’ensemble des besoins et des avis des acteurs intéressés sur les résultats, les lacunes et les perspectives éventuelles du RTE-T.