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- Appel à candidatures PIANOFORTE 2024 – Dépôt des candidatures jusqu’au 23 juillet 2024 à 15h (Réf. PIANOFORTE, ouvert le 23 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Radioprotection – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RP, ouvert le 25 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Gestion des déchets radioactifs – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RWM, ouvert le 25 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Sécurité du système de réacteur – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RSS, ouvert le 25 avril 2024).
- Appel à candidatures PIANOFORTE 2024 – Dépôt des candidatures jusqu’au 23 juillet 2024 à 15h (Réf. PIANOFORTE, ouvert le 23 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Radioprotection – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RP, ouvert le 25 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Gestion des déchets radioactifs – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RWM, ouvert le 25 avril 2024).
- Prix de l'innovation nucléaire 2025 : Sécurité du système de réacteur – Dépôt des candidatures jusqu’au 15 octobre 2024 à 17h (Réf. EURATOM-2024-NUCLEAR-Prize-RSS, ouvert le 25 avril 2024).
- Appel à propositions sur le Pôle européen pour le développement de vaccins (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-1, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour la protection respiratoire de nouvelle génération (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-2, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour soutenir les technologies et procédés de fabrication innovants dans l'Union pour la production de médicaments (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-3, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour soutenir le développement de nouveaux antiviraux (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-4, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions sur le Pôle européen pour le développement de vaccins (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-1, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour la protection respiratoire de nouvelle génération (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-2, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour soutenir les technologies et procédés de fabrication innovants dans l'Union pour la production de médicaments (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-3, ouvert le 23 mai 2024).
- Appel à propositions pour soutenir le développement de nouveaux antiviraux (HERA) – Dépôt des candidatures jusqu’au 5 septembre 2024 à 17h (Réf. EU4H-2024-PJ-01-4, ouvert le 23 mai 2024).
- Protocoles statistiques et expérimentaux pour l'estimation des paramètres de l'enquête antiparasitaire – Dépôt des candidatures jusqu’au 4 juillet 2024 à 17h (Réf. EUBA-EFSA-PLANTS-2024-01, ouvert le 30 avril 2024).
- Voie vers l'évaluation quantitative des risques liés au bien-être animal : mise à l'essai d'un ensemble standardisé de mesures basées sur les animaux chez les porcs – Dépôt des candidatures jusqu’au 14 novembre 2024 à 17h (Réf. EUBA-EFSA-2024-BIOHAW-01, ouvert le 23 mai 2024).
- Protocoles statistiques et expérimentaux pour l'estimation des paramètres de l'enquête antiparasitaire – Dépôt des candidatures jusqu’au 4 juillet 2024 à 17h (Réf. EUBA-EFSA-PLANTS-2024-01, ouvert le 30 avril 2024).
- Voie vers l'évaluation quantitative des risques liés au bien-être animal : mise à l'essai d'un ensemble standardisé de mesures basées sur les animaux chez les porcs – Dépôt des candidatures jusqu’au 14 novembre 2024 à 17h (Réf. EUBA-EFSA-2024-BIOHAW-01, ouvert le 23 mai 2024).
Éléments majeurs de la réforme du marché de l’électricité officiellement adoptée le 21 mai, les PPA sont des contrats d'achat d'électricité sur long terme qui lient les développeurs de projets d’électricité renouvelable et les entreprises consommatrices. L’objectif de la Commission européenne via la multiplication de ces contrats est d’accroitre la visibilité et la stabilité des investissements dans les renouvelables et d’obtenir des prix compétitifs à la fois pour les producteurs et les consommateurs.
En cohérence avec l’action européenne, la Région Nouvelle Aquitaine porte une initiative territoriale visant à favoriser la contractualisation de PPA. Cette démarche s’est matérialisée par la signature d’un PPA entre 11 entreprises et participera à l’atteinte des objectifs de décarbonation du mix énergétique de la Région d’ici à 2030 ainsi qu’à soutenir la compétitivité des entreprises via une électricité à prix stable sur une période de long terme.
Afin de renforcer cette dynamique territoriale, Pierre Schellekens, Directeur politique énergétique
stratégie et coordination au sein de la direction générale de l'énergie (DG ENER) à la Commission européenne est venu rappeler l’importance de cet outil contractuel pour mieux protéger les consommateurs des fluctuations de prix et dans le même temps stimuler l’investissement dans la production de l’électricité renouvelable au sein de l’UE.
A la suite des présentations, un moment "business to business" s’est tenu à l’Hôtel de Région afin de faciliter les échanges entre les entreprises consommatrices, les développeurs de projets d’électricité renouvelables et d’autres acteurs pertinents pour la mise en place des PPA.
Enfin, la journée s’est terminée avec une présentation par « Réseau de transport d’électricité » des défis à relever en termes de réseau pour réussir la transition énergétique en Nouvelle-Aquitaine. Également, différentes solutions de flexibilités ont été présentées afin de comprendre les futures options du fonctionnement du réseau transportant de l’électricité bas-carbone et renouvelable.
(Re)visionner les "Rencontres nationales PPA, Flexibilité et Mix énergétique" sur Youtube
A la suite de l’étude sur la prospective sur l’infrastructure d'avitaillement en hydrogène à horizon 2030 présentée le 20 septembre 2023, il est estimé que 19 stations d’avitaillement en hydrogène seraient à déployer. Ces infrastructures sont, pour la plupart, situées sur les axes du Réseau transeuropéen de transport, ce qui met en exergue la dimension régionale, nationale et européenne de ce maillage.
Pour le développement de ces stations, la Région se donne le rôle de coordinateur et a ainsi lancé le 23 avril 2024, un appel à manifestation d’intérêt (AMI) pour permettre, à terme, aux acteurs intéressés par l’hydrogène de développer de manière structurée des projets sur notre territoire.
Pour promouvoir cet AMI, la Direction Energie Climat de la Région a organisé le 13 mai dernier un webinaire où il a été notamment expliqué l’articulation entre l’appel européen “Facilité pour les infrastructures de carburants alternatifs“ (AFIF) et le rôle de la Région comme coordonnateur.
En effet, il est prévu que la Région se charge d’accompagner la réponse à l’AFIF si cela s’avérait être la demande des acteurs répondant à l’AMI.
La conférence "Regarder vers l’avenir : le budget de l’UE du futur" a été ouverte par le Commissaire au Budget, l’autrichien Johannes Hahn. Celui-ci a été suivi par un débat auquel a participé sa directrice générale, Stéphanie Riso. Tous deux constatent que l’UE est confrontée à de tels enjeux mondiaux, en termes de défense, de technologie, de compétitivité et de transitions, qu’elle doit se donner les moyens de retrouver sa place géostratégique, tant au niveau économique que politique.
Sur le volet technique, la Commission européenne (CE) remet en cause la rigidité du cadre budgétaire actuel. Il serait proposé trop en amont, deux ans et demi avant sa mise en œuvre, et dans un cadre de sept ans. En effet, le futur cadre financer financier pluriannuel (CFP) 2028-2034, doit être présenté par la Commission européenne en juin 2025.
Or, afin de mieux répondre aux besoins prévisibles mais aussi imprévisibles, la DG de la CE en charge du budget réfléchit à lui donner une plus grande flexibilité ce qui supposerait par exemple d’avoir moins de "pré-allocations". Un questionnement qui impliquerait la politique de cohésion ou encore la PAC, sans à priori les remettre en question, mais en travaillant sur l’"ingénierie". Sous-entendu de les rapprocher du modèle de la Facilité pour la reprise et la résilience (FRR), le plan de relance européen, qui est un modèle à ce stade centralisateur et basé sur le principe de "réforme contre investissement" en lien avec le Semestre européen. Se pose aussi la question de rationaliser les instruments existants. Comme l’a résumé Stéphanie Riso dans son intervention : "Ce qui compte ce sont les objectifs : que voulons-nous faire ? Quelles ressources mettrons-nous ? et à la fin nous verrons les programmes".
Sur le volet ressources, le Commissaire souhaiterait affranchir le budget de sa trop forte dépendance aux contributions étatiques en avançant sur de nouvelles ressources propres. Il invite également les pays dits frugaux à dépasser le plafond du budget européen de 1% du RNB et à ne pas exclure l’idée d’un nouvel emprunt européen, afin de pouvoir répondre aux nouvelles priorités tout en gardant les acquis.
Reste parmi les options de s’appuyer davantage sur l’ensemble du système financier dont le CFP ne représente qu’une partie. Ainsi, les dépenses du CFP pourraient être davantage couplées avec les instruments financiers européens (Banque européenne d’investissement, Invest EU, etc.). Mais aussi complétés par des investissements privés en améliorant l’intégration du marché des capitaux européens, en référence au rapport d’Enrico Letta (Voir article La compétitivité de l’UE : une thématique majeure pour les institutions européennes | Europe (europe-en-nouvelle-aquitaine.eu)).
En effet, Enrico Letta, présent à la conférence, a alerté sur l’écart croissant entre les attentes, à savoir les besoins et les nouvelles priorités, et la réalité. Il rappelle que son rapport contient un ensemble d’instruments ("set of tools") pour un mix de moyens financiers. Il a également alerté sur la nécessité de répondre aux craintes suscitées par l’impact sur la PAC et la Politique de cohésion de l’élargissement de l’UE.
La Ministre Belge des Affaires européennes, Hadja Lahbib, le Premier Ministre Croate, Andrej Plenković, ainsi que le Ministre des Affaires étrangères du Portugal, Paulo Rangel, ont dans leurs interventions défendu la nécessité de maintenir la politique de cohésion dans le futur budget européen.
Nadia Calviño, Présidente de la Banque européenne d’investissement, a invité à trouver un moyen d’allier la compétitivité avec la politique de cohésion et les objectifs climatiques, et à réconcilier les talents européens avec les opportunités du continent. D’autres intervenants comme la représentante de Digital Europe et le représentant de la Fédération bancaire européenne ainsi que le Ministre Autrichien des finances, estiment qu’il est nécessaire d’inciter l’investissement privé au sein de l’UE notamment en simplifiant la communication fiscale intra-européenne et les législations. Enfin, Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI, ancienne Vice-Présidente de la CE en charge du Budget, a évoqué l’impact positif des Fonds structurels et d’investissements européens, tout en estimant qu’un effort substantiel doit être fait pour soutenir l’IA et l’énergie.
La conférence a permis de jeter des pistes de réflexions mais c’est la prochaine législature et le nouveau collège des commissaires européens qui auront la charge en 2025 de proposer un nouveau cadre financier européen.
Agenda de la conférence
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Document d’analyse de la conférence
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