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La Commission européenne a ouvert un appel à contributions du 26 janvier au 23 février 2024 sur les exigences pour les États membres de désigner des zones d'accélération des énergies renouvelables d'ici le 21 février 2026 tel que le demande la directive révisée sur les énergies renouvelables (directive (UE) 2023/2413).
Cette initiative fournira des orientations afin d'aider les États membres à identifier et à désigner des zones d'accélération des énergies renouvelables pour les projets éoliens et solaires. Le plan d'action européen pour l'énergie éolienne prévoit que la Commission publiera des orientations d'ici avril 2024.
La Commission européenne a ouvert un appel à contributions du 26 janvier au 23 février 2024 sur les exigences pour les États membres de désigner des zones d'accélération des énergies renouvelables d'ici le 21 février 2026 tel que le demande la directive révisée sur les énergies renouvelables (directive (UE) 2023/2413).
Cette initiative fournira des orientations afin d'aider les États membres à identifier et à désigner des zones d'accélération des énergies renouvelables pour les projets éoliens et solaires. Le plan d'action européen pour l'énergie éolienne prévoit que la Commission publiera des orientations d'ici avril 2024.

Une centaine de personnes – dont plusieurs eurodéputés et des membres de leurs équipes, des fonctionnaires de la Commission et du Comité européen des Régions, ainsi que des représentants d’autres régions européennes, de réseaux, d’associations ou de lobbys bruxellois – ont participé à la cérémonie de vœux organisée dans les locaux de la représentation de la Région à Bruxelles. Pour ce déplacement, Alain Rousset était accompagné d’Isabelle Boudineau, conseillère régionale déléguée à l’Europe et membre du Comité européen des Régions.
Tout au long de son intervention, Alain Rousset a rappelé l’engagement de la Région pour la transition écologique, fil rouge de son déplacement bruxellois. Après avoir rendu un hommage appuyé à Jacques Delors, il a notamment souligné l’engagement de la Région pour réindustrialiser le territoire. "La créativité nait de la base, pas à Versailles", s’est-il exclamé, en revenant sur l’importance d’accompagner les start-ups, PME et ETI. A ce titre, il a appelé l’UE à développer des "fonds souveraineté" pour accompagner les projets industriels risqués. Il est également revenu sur la crise que traverse le secteur agricole, insistant sur la question centrale des revenus des agriculteurs. Enfin, il a clôturé son discours en rappelant l’importance des crédits européens gérés par les Régions en France. En Nouvelle-Aquitaine, ce sont 200.000 projets financés par l’Europe pour la période 14-20.
Alain Rousset a en outre pu échanger avec le Professeur Carlo Secchi, Coordonnateur européen du Corridor atlantique. Ce dernier était accompagné de plusieurs représentants de la DG MOVE de la Commission européenne dont Eddy Liégeois, Directeur Investissement, Transport innovant et durable. A cette occasion, le président de la Nouvelle-Aquitaine a évoqué l’état d’avancement du Grand Projet du Sud-Ouest (GPSO) et demandé à la Commission de poursuivre son soutien financier. La Commission a rappelé que sa priorité politique était les sections transfrontalières, donc la branche du GPSO vers Dax puis l’Espagne, et que la date actuellement envisagée pour la mise en service de Bordeaux-Dax, en 2037, devrait impérativement être rapprochée. Carlo Secchi a par ailleurs souligné l’importance du Corridor Atlantique pour le report modal du fret de la route vers le rail. Concernant les financements, la Commission s’attend à une énorme pression sur le dernier grand appel à projets du Mécanisme pour l’Interconnexion en Europe (MIE) de la période 2021-2027, qui clôturait ce 30 janvier.
Enfin, Alain Rousset, en tant que Président de région mais également au titre de sa présidence du Comité de bassin de l’Agence de l’eau Adour-Garonne, s’est entretenu avec le Commissaire européen à l’environnement, aux océans et à la pêche, Virginijus Sinkevičius. Les enjeux liés au changement climatique et à son impact direct sur la ressource en eau ont ainsi été au cœur des échanges. L’occasion d’évoquer la feuille de route régionale Néoterra, qui a retenu toute l’attention du Commissaire. Ce dernier doit présenter d’ici quelques semaines une communication sur la résilience dans le domaine de l’eau, qui vise à préparer le travail de la prochaine Commission européenne. Enfin, Alain Rousset a proposé au Commissaire de développer dans les régions européennes des "démonstrateurs de la transition écologique", citant pour la Nouvelle-Aquitaine le fleuve Charente et le Marais-Poitevin.
Comités de suivi
Le comité de suivi est une instance partenariale de pilotage stratégique qui permet d'assurer l’efficacité et la qualité de mise en œuvre des programmes européens dont la Région Nouvelle-Aquitaine a la responsabilité. Le partenariat est composé des représentants de la Commission européenne, des Ministères, des services régionaux de l’Etat, des collectivités territoriales de la région, des chambres consulaires, associations, acteurs économiques et sociaux...
Ensemble, ils s'assurent du bon déroulement de l’exécution et du financement des programmes européens lors de réunions et de visites et se réunissent chaque année sur un lieu différent.
Afin de promouvoir les programmes Interreg, le Pôle Europe et International de la Région Nouvelle-Aquitaine accueille dans sa Direction de la Coopération des volontaires IVY. Pendant 6 mois, leur mission est d’effectuer la communication en lien avec les programmes Interreg POCTEFA et Espace Atlantique, dont la Région est Autorité nationale, ainsi que Interreg Europe et SUDOE.
Depuis son lancement en 2017, le programme IVY permet à de nombreux jeunes de participer en tant que volontaires à des programmes ou à des projets qui soutiennent la coopération dans divers domaines : environnement, éducation, recherche, santé, transport, énergie durable, ... Ces projets sont financés par les programmes Interreg dans le cadre de la politique régionale de l'Union européenne.
Les volontaires Interreg sont des jeunes de l'UE et des pays voisins qui partagent une passion pour la coopération. Au total, le dispositif compte une cinquantaine de pays participants, les jeunes originaires de l’un de ces pays étant donc éligibles pour participer au programme. Ils sont recrutés selon leurs origines culturelles, leurs compétences, leurs expériences et leurs intérêts.
