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Les engagements de la Région Nouvelle-Aquitaine

Avec la feuille de route NeoTerra, la Région Nouvelle-Aquitaine a mis la solidarité au cœur de ses préoccupations. En effet, 780 000 néo-aquitains vivent sous le seuil de pauvreté.

Ainsi, la formation devient un enjeu crucial pour lutter contre la pauvreté et permettre de s’élever socialement.

Des programmes européens régionaux au service de la justice sociale

FSE+

Le  FSE+ (Fonds Social Européen +) est un outil au service des objectifs de la Région Nouvelle-Aquitaine et de l’Union européenne. C’est d’ailleurs l’un des plus anciens fonds européens car il a été mis en place par le Traité de Rome en 1957. En effet, il permettait de pallier les effets résultant de l’ouverture du marché comme l’accès à l’emploi à tous, la lutte contre le chômage,…
Aujourd’hui et jusqu’en 2027 ces travaux se poursuivent. Le fonds permettra notamment de :

  •  Accompagner à la création et à la reprise d’activité, ainsi que le développement de l’ESS ; 
  • Mettre en place les actions permettant de s’orienter ou se réorienter professionnellement tout au long de sa vie ;
  • Développer la formation tout au long de la vie et l’évolution professionnelle.


Pour en savoir plus, rendez-vous sur : 

Formation insertion et emploi


Un dispositif favorisant la RSO (Responsabilité Sociétale des Organisations)

Chaque projet déposé et soutenu doit respecter la charte des droits fondamentaux. Ainsi, les entreprises doivent s’engager à favoriser :

  • L’égalité entre les femmes et les hommes ;
  •  L’égalité des chances et la non-discrimination ;
  • Le développement durable.


C’est pourquoi, entre 2014 et 2022, les projets d’investissements de plus de 2 millions d’euros se sont vu l’opportunité de faire un auto-diagnostic.
 

Retrouvez les résultats

Exemples de projets soutenus

Divers projets ont été soutenus en faveur de la justice sociale :

Les OIS (Opérations d'Importance stratégiques) 

Pour la période 2021-2027, la Région Nouvelle-Aquitaine a dû désigner des Opérations d'Importances concernant l'orientation, la fomation et l'emploi dont :

  • Les AMPLI (Appui aux Micro-Projets Locaux Innovants) permettant de soutenir la création de l'emploi dans le secteur de l'ESS (Economie Sociale et Solidaire) ;
  • Les E2C (Ecoles de la Seconde Chance) accompagnant des jeunes sans diplôme, ni qualification vers la voie de la réinsertion.

Pour en savoir plus

Les autres projets

Coorganisée par la DG REGIO de la Commission européenne et le Comité européen des Régions, la prochaine édition de l’EWRC se tiendra du 13 au 15 octobre 2025 à Bruxelles (Square).  Elle se déroulera autour de trois thématiques: 

  • Cohésion et croissance pour l'avenir
  • Le "droit de rester": Libérer le potentiel de chaque territoire
  • Les villes construisent demain

Pour participer, il est conseillé de consulter le guide de l'événement qui apporte les informations sur les groupes thématiques, les différents formats de session ou encore le calendrier.

Des liens spécifiques sont aussi mis en ligne sur comment devenir partenaire, et soumettre sa candidature.

Les organisateurs ont décidé de maintenir différents formats: conférences de 90 minutes, des ateliers de 60 minutes ou des discussions de 30 minutes. Les candidats peuvent proposer de monter un stand et d’organiser des séances de dégustation.  

Il est également possible de soumettre une demande de labélisation EWRC pour l’organisation d’une rencontre, d’un atelier ou évènement dans toute l’Europe et hors calendrier de la semaine de l’édition, entre le 13 octobre et le 30 novembre. 

Site internet de l’édition

Revoir la vidéo des conditions du lancement

Lire la présentation pour l'édition 2025

Réunis au sein d’ "Alliance Veille", des représentants de l’Association des Producteurs Indépendants de Noisettes de France (APINF), du Bureau Interprofessionnel du Pruneau (BIP), de l’Association Nationale Interprofessionnelle de la Noix, de la Société Nationale Interprofessionnelle de la Tomate d'Industrie (SONITO) et de l’Association Nationale Interprofessionnelle de la Filière du Bigarreau d’Industrie (ANIBI), ont échangé pendant plusieurs jours avec des fonctionnaires de la Commission européenne, des députés européens et la Représentation permanente de la France auprès de l’UE, sur les défis auxquels sont confrontés leurs filières et les solutions identifiées pour assurer leur résilience. 

Au cours de leur déplacement, ils ont également échangé avec des représentants des bureaux de Régions françaises sur les territoires desquelles ces filières sont implantées: Nouvelle-Aquitaine, Auvergne Rhône Alpes, Occitanie et Région Sud. Accueillie dans les locaux de la Nouvelle-Aquitaine au cœur du quartier européen, la délégation a présenté les principaux enjeux à court, moyen et long termes de leurs filières, en particulier la future Politique Agricole Commune, les impacts de la guerre en Ukraine, les conséquences du changement climatique et la lutte contre les maladies et ravageurs, etc. 

Les discussions ont avant tout porté sur la problématique de la gestion de l’eau et de la protection des cultures, la délégation demandant à ce que les spécificités et besoins des petites filières représentées soient prises en compte dans les politiques européennes, nationales et régionales. 

L’occasion pour la Nouvelle-Aquitaine, de présenter le dispositif RESTAURE que la Région a ouvert le 4 avril dernier, et ce jusqu’au 4 mai. Cette nouvelle mesure s’inscrit dans le cadre de la fin de la programmation FEADER 2014-2022, la Commission européenne ayant publié un règlement qui permet de fournir une aide aux agriculteurs touchés par des catastrophes climatiques ou sanitaires survenues après le 1er janvier 2024. La Région Nouvelle-Aquitaine a décidé de saisir cette opportunité en ciblant l’aide sur l’élevage ainsi que productions arboricoles, viticoles et apicoles particulièrement impactées. 

L’occasion également de partager les réflexions sur l’hydraulique agricole, la Nouvelle-Aquitaine appelant en particulier à clarifier/simplifier la mise en œuvre des financements d’ouvrages hydrauliques au titre du FEADER, message porté dans les conclusions de sa mission d'information et d'évaluation (MIE) sur sa politique agricole et alimentaire.

Le dispositif RESTAURE en Nouvelle-Aquitaine

La mission d'information et d'évaluation (MIE) de la Nouvelle-Aquitaine sur sa politique agricole et alimentaire (2024)
 

A cette occasion, le réseau a également élu un nouveau Président et une nouvelle Vice-Présidente, respectivement Ramón Fernández-Pacheco, Vice-Président de l'Agriculture, de la Pêche et du Développement Rural de la région d'Andalousie, et Lisa Martini (directrice de l'APO italienne F.IN.A.F.).

A la réunion institutionnelle a succédé une conférence organisée en trois temps pendant lesquels les représentants des autorités locales et des producteurs ont échangé avec des représentants de la DG AGRI de la Commission européenne et des députés européens:

  • Une table ronde sur la "Vision pour l'avenir de l'agriculture et de l'alimentation" présentée par la Commission européenne en février dernier;
  • Une table ronde sur la réforme des règlements sur les Plans Stratégiques Nationaux et l’Organisation Commune de Marché (OCM);
  • Une table ronde sur les principaux défis pour la résilience de l'eau dans le secteur des fruits et légumes.

Intervenant via message vidéo, le député européen Eric Sargiacomo a pu rappeler son plein soutien à la gouvernance du secteur des fruits et légumes depuis la réforme de l’OCM de 1996: "Le financement des programmes opérationnels par la PAC a en effet permis aux organisations de producteurs de mieux structurer l’offre. De la sorte, les producteurs ont eu les moyens de gérer collectivement la mise en marché de manière à être davantage respectés dans les négociations commerciales". Pour le député, ce modèle doit être protégé et ne doit surtout pas être déstabilisé. Il a également souligné partager l’analyse de l’AREFLH - concernant la révision ciblée de l’OCM telle que présentée par la Commission européenne le 10 décembre dernier- en particulier sur deux points: 

  • Ne pas mettre sur un même pied d’égalité les Organisations de Producteurs (OP) reconnus et OP non reconnus; 
  • Demander une justification complémentaire sur la fixation du plafond de la taille des OP à 33% de la production nationale "alors que c’est évidemment au niveau européen qu’il convient de discuter de ce type de plafond". 

Enfin, il a appelé à renforcer les dispositions protectrices des OP, comme celles qui encadrent précisément le type de contact qu’il peut y avoir entre les clients de l’OP et les membres de l’OP, critiquant au passage certains clients d’OP laitières en France, qui contournent l’OP pour aller négocier directement avec les membres. Pour Eric Sargiacomo, ce type de pratiques doit être considéré comme une pratique commerciale déloyale et "un régime de sanctions doit être mis en place en conséquence". 

L’Assemblée Générale 2026 de l’AREFLH aura lieu en Région Andalousie.

AREFLH