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Le 6 janvier 2021, la Commission européenne a publié les résultats de l’appel "Jumelage de villes" du programme l’Europe pour les citoyens. Parmi les 106 lauréats de l’appel, six projets menés par des entités françaises, dont trois néo-aquitaines, ont été retenus.
L’association corrézienne a décroché un financement pour la biennale qu’elle organisera à Tulle et en Corrèze, les 10, 11 et 12 septembre 2021 sur le thème "l’Europe des années 1950". La biennale accordera une certaine importance aux questions agricoles, elle sera l’occasion de regarder le chemin parcouru et de tracer des réflexions sur l’avenir des modes de production, de commercialisation et de consommation. Le temps d’un week-end, l’association organisera différents moments d’échanges et de partage, des tables-rondes, des conférences, des expositions et des projections de films sur la thématique retenue. Les villes jumelées avec Tulle, dont certaines sont partenaires du projet, sont invitées à venir partager leurs propres histoires.
Les deux autres entités néo-aquitaines à obtenir un financement sont la Commune de Coursac (24) pour son projet "Coursac/Colfelice - Migrations européennes à travers l'histoire" ainsi que la Commune de Mauléon-Licharre (64) pour le projet "Les chemins de la mémoire".
Les appels à projets pour le programme l’Europe pour les citoyens 2014-2020 sont clos. Pour la programmation 2021-2027, il change d’appellation, il devient "Droits et Valeurs" et combine trois anciens programmes: l’Europe pour les citoyens, Droits, égalité et citoyenneté et Daphné. Les premiers appels à propositions seront lancés au printemps 2021.
Liste des lauréats pour l’appel "Town Twinning 2020 – Round 2"
La Commission européenne était restée jusqu’à présent très réticente quant à la possibilité d’établir un cadre réglementaire européen pour les IG non agricoles (IGNA), dénommés également en France les IG pour les produits industriels et artisanaux (IGPIA). Or, dans son nouveau Plan d’actions en faveur de la propriété intellectuelle, publié le 25 novembre dernier, la Commission évoque enfin officiellement "la possibilité" de créer un système européen de protection des indications géographiques pour les produits non agricoles. Et pour initier formellement le processus, elle ouvre deux consultations publiques, dont la première vient de s’achever et la deuxième devrait s’ouvrir dans les semaines à venir.
Cela fait plusieurs années que la Région Nouvelle-Aquitaine défend, aux côtés de l’AFIGIA (Association Française des Indications Géographiques Industrielles et Artisanales), dont le siège est à Bordeaux, une reconnaissance européenne des IGPIA. La Région compte six IGPIA à ce jour sur les douze au niveau national: Porcelaine de Limoges, Tapis et Tapisserie d’Aubusson, Charentaise de Charente-Périgord, ou encore tout récemment Pierre d’Arudy et Linge Basque. Dans sa contribution à la consultation, la Région Nouvelle-Aquitaine rappelle la nécessité d’assurer une protection des IG non agricoles au-delà des seules frontières nationales afin de favoriser le développement des entreprises engagées dans ces démarches, et de renforcer la lutte contre la contrefaçon.
Disposant également d’IG non agricoles sur leurs territoires, les Régions Bretagne et Bourgogne-Franche Comté se sont également associées à la Nouvelle-Aquitaine pour adresser un courrier commun au Commissaire européen Thierry Breton. Les trois Régions demandent à l’UE de se doter d’une règlementation européenne harmonisée protégeant les IG non agricoles. D’autres actions sont prévues au cours de l’année 2021 en coopération avec l’AFIGIA.
Ces actions ont notamment été présentées le 22 janvier dernier à Bordeaux lors du 1er Comité Stratégique de la feuille de route "Cuir, Luxe, Textile et Métiers d'Art", feuille de route animée par la Région Nouvelle-Aquitaine, en présence du Président de la Région, Alain Rousset.
Dans la même semaine que le Conseil européen du 11 décembre dernier, qui s’est mis d’accord sur l’objectif de réduction des gaz à effet de serre de 55% d’ici 2030, la Commission a publié le 9 décembre dernier sa proposition de Pacte européen pour le Climat, officiellement lancé le 16 décembre.
Il s’agit avant tout d’une plateforme permettant de mettre en commun les démarches volontaires en faveur de la lutte contre le changement climatique. La Commission appelle les associations, les collectivités locales, les citoyens à s’engager et à devenir "ambassadeurs du climat". Ils pourront ainsi mettre en avant leurs projets de lutte contre le changement climatique. Les meilleures idées seront sélectionnées dans quatre thèmes essentiels (zones vertes, transports, bâtiments et compétences).
Dans la même semaine que le Conseil européen du 11 décembre dernier, qui s’est mis d’accord sur l’objectif de réduction des gaz à effet de serre de 55% d’ici 2030, la Commission a publié le 9 décembre dernier sa proposition de Pacte européen pour le Climat, officiellement lancé le 16 décembre.
Il s’agit avant tout d’une plateforme permettant de mettre en commun les démarches volontaires en faveur de la lutte contre le changement climatique. La Commission appelle les associations, les collectivités locales, les citoyens à s’engager et à devenir "ambassadeurs du climat". Ils pourront ainsi mettre en avant leurs projets de lutte contre le changement climatique. Les meilleures idées seront sélectionnées dans quatre thèmes essentiels (zones vertes, transports, bâtiments et compétences).
En vue de mettre en avant de bons exemples de rénovation énergétique en Europe, la Commission a lancé le 18 janvier un concours pour mettre sur pied un "nouveau Bauhaus européen", en référence au mouvement de renouveau architectural, créé en 1919 à Weimar (Allemagne).
La Commission souhaite en effet valoriser sa vague de rénovation en s’appuyer sur des projets emblématiques, non seulement innovants techniquement et pertinents sur le plan environnemental, mais aussi esthétiques.
Dans un premier temps, le choix se concentrera sur des réalisations déjà existantes, répondant à ces valeurs (bâtiments, espaces publics, pratiques, ou méthodes). Dans un second temps, à l’automne, la Commission sélectionnera des projets dans une dizaine de catégories qui seront précisées en cours d’année. Chaque lauréat recevra 30 000 € et un appui technique pour réaliser un documentaire ou une exposition sur son projet.
En vue de mettre en avant de bons exemples de rénovation énergétique en Europe, la Commission a lancé le 18 janvier un concours pour mettre sur pied un "nouveau Bauhaus européen", en référence au mouvement de renouveau architectural, créé en 1919 à Weimar (Allemagne).
La Commission souhaite en effet valoriser sa vague de rénovation en s’appuyer sur des projets emblématiques, non seulement innovants techniquement et pertinents sur le plan environnemental, mais aussi esthétiques.
Dans un premier temps, le choix se concentrera sur des réalisations déjà existantes, répondant à ces valeurs (bâtiments, espaces publics, pratiques, ou méthodes). Dans un second temps, à l’automne, la Commission sélectionnera des projets dans une dizaine de catégories qui seront précisées en cours d’année. Chaque lauréat recevra 30 000 € et un appui technique pour réaliser un documentaire ou une exposition sur son projet.
Pour les participants, l’objectif est de partager "leur" Europe à travers un dessin et/ou une vidéo. Les réalisations peuvent porter sur une expérience vécue (un souvenir de voyage, une expérience culinaire, un projet soutenu par l’Europe, un séjour Erasmus, etc.) ou être imaginaires.
Le dessin devra tenir sur une page ou constituer une planche de bande dessinée au format A4. Quant aux vidéos, elles devront durer entre 30 secondes et 1 minute 30, sous-titrées si possible. Les auteurs, résidents en Nouvelle-Aquitaine, devront s’exprimer en français sur le thème de l’Europe.
Le concours est ouvert depuis le 11 janvier et jusqu’au 8 mars. Des trottinettes électriques, deux jours aux festivals de Musicalarue, Blues passion et Brive festival, ainsi que des entrées au festival de la BD d’Angoulême et au salon de la caricature du dessin de presse et d’humour sont à gagner.
Cet appel avait été annoncé dans la stratégie de la Commission européenne axée sur les PME pour une Europe durable et numérique en mars 2020 (voir article).
Dans son projet, l’Eurorégion identifie trois barrières:
- En matière de fiscalité, au sujet de l’accord entre l’Espagne et la France pour éviter la double-taxation. Ce texte date de 1995 et définit le statut de travailleur transfrontalier de façon restrictive, il oublie en outre un certain nombre de communes situées dans la zone transfrontalière;
- Au sujet de la reconnaissance des qualifications professionnelles (formation professionnelle et certificats), qui entrave la mobilité transfrontalière des travailleurs, même dans des professions où la demande est forte;
- Concernant l’incompatibilité des systèmes informatiques des administrations publiques, en particulier dans le contexte de la crise sanitaire avec la mise en place des mesures de chômage partiel, la problématique du versement d’aides publiques sur des comptes étrangers ou encore des plans de relance qui ne peuvent pas soutenir des non-résidents.
Une première réunion de travail avec les services de la Commission est programmée début février.
Le Comité européen des Régions, en partenariat avec les membres de l’Alliance européenne pour les citoyens transfrontaliers, lance une consultation publique sur le futur de la coopération transfrontalière en Europe.
Les résultats de cette enquête serviront de base à une résolution du Comité des Régions, prévue pour juillet, qui sera soumise en tant que contribution officielle à la Conférence sur l’avenir de l’Europe.
La résolution insistera sur les objectifs concrets à atteindre d’ici 2050, de façon à surmonter tous les obstacles à la coopération transfrontalière, et améliorer la vie des Européens qui vivent en zones transfrontalières.
Le questionnaire se compose d’une vingtaine de questions réparties en trois parties, dont l’une se concentre sur les conséquences de la pandémie de la Covid-19 pour la coopération transfrontalière.
La consultation, disponible en français, est ouverte jusqu’au 14 mars.
En outre, il est toujours possible de rejoindre l’Alliance européenne pour les citoyens transfrontaliers, qui s’adresse à tous les résidents des régions transfrontalières ou toute personne intéressée par ce sujet. Pour cela il faut télécharger et signer une déclaration.
Voir la consultation
Signer la déclaration de l’Alliance européenne pour les citoyens transfrontaliers