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Cet évènement européen coïncide depuis 2014 avec la publication du rapport annuel européen sur les perspectives du marché. L’édition 2020 se penchera sur les leçons tirées de la crise du Covid-19 et examinera les perspectives pour reprise "verte". Les résultats de l'étude prospective sur les "agriculteurs du futur" seront également présentés.
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Réclamé par les États membres et le Parlement européen en raison de la complexité et de l'importance du droit dérivé en cours d'élaboration, la Commission européenne a proposé début septembre le report d'un an, au 1er janvier 2022, de l'entrée en vigueur de la nouvelle législation relative à l'agriculture biologique [règlement (UE) 2018/848]. Cette proposition a été acceptée par les co-législateurs. La crise du coronavirus ayant ralenti les travaux de préparation du droit dérivé, cette décision a été accueillie avec soulagement par les parties prenantes car il aurait été très difficile de commencer à appliquer un tout nouveau règlement quelques semaines ou quelques jours après la publication des derniers actes d'exécution et actes délégués, en particulier dans le contexte actuel.
La Commission européenne a rappelé cependant, à l’occasion de cette annonce, que l’agriculture bio revêt une importance particulière dans la réalisation de l'ambition du pacte vert pour l'Europe et des objectifs fixés dans les stratégies "De la ferme à la table" et "biodiversité" (exploiter 25 % de terres agricoles en agriculture biologique d'ici à 2030). Un plan d'action pour l'agriculture biologique sera ainsi présenté début 2021 et fait, en ce moment, l’objet d’une consultation publique (voir la rubrique "consultations" de l’IE du 1er octobre).
Réclamé par les États membres et le Parlement européen en raison de la complexité et de l'importance du droit dérivé en cours d'élaboration, la Commission européenne a proposé début septembre le report d'un an, au 1er janvier 2022, de l'entrée en vigueur de la nouvelle législation relative à l'agriculture biologique [règlement (UE) 2018/848]. Cette proposition a été acceptée par les co-législateurs. La crise du coronavirus ayant ralenti les travaux de préparation du droit dérivé, cette décision a été accueillie avec soulagement par les parties prenantes car il aurait été très difficile de commencer à appliquer un tout nouveau règlement quelques semaines ou quelques jours après la publication des derniers actes d'exécution et actes délégués, en particulier dans le contexte actuel.
La Commission européenne a rappelé cependant, à l’occasion de cette annonce, que l’agriculture bio revêt une importance particulière dans la réalisation de l'ambition du pacte vert pour l'Europe et des objectifs fixés dans les stratégies "De la ferme à la table" et "biodiversité" (exploiter 25 % de terres agricoles en agriculture biologique d'ici à 2030). Un plan d'action pour l'agriculture biologique sera ainsi présenté début 2021 et fait, en ce moment, l’objet d’une consultation publique (voir la rubrique "consultations" de l’IE du 1er octobre).
Un premier échange entre Madame Céline Papin, Vice-présidente des Equilibres des territoires, des Relations internationales et du Dialogue citoyen à Bordeaux Métropole, et également Adjointe à la Ville de Bordeaux en charge des Coopérations territoriales, européennes et internationales a eu lieu le 21 octobre avec la représentation de la Région Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles. Cette rencontre s’est tenue en visio-conférence, son déplacement à Bruxelles ayant dû être annulé en raison des conditions sanitaires.
Cet échange s’inscrit dans une série de rencontres européennes initiées par les nouvelles équipes de la Ville de Bordeaux et Bordeaux métropole, avec pour objectif de déployer fortement la dimension européenne de leurs actions. Durant cet entretien et après une présentation des missions et activités de la représentation de la Région à Bruxelles, les discussions ont porté sur le rôle d’influence de la représentation, les réseaux européens de collectivités et les grands dossiers en cours (budget européen, politique de cohésion, nouveaux programmes européens).
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L’objectif de l’appel à projet B-solutions, lancé par l’Association des régions frontalières européennes (ARFE) en coopération avec la Direction Générale de la politique régionale et urbaine (DG REGIO) de la Commission européenne, est de traiter les obstacles caractérisant les interactions transfrontalières.
Les raisons pour lesquelles de tels obstacles se présentent sont nombreuses: manque de cohérence de la législation applicable de chaque côté de la frontière, incohérence ou chevauchement des différentes procédures administratives, etc.
L’obstacle rencontré à la frontière franco-espagnole concerne la circulation des trains entre la France et l’Espagne, notamment entre les gares d'Hendaye et d'Irún. En effet, les trains express régionaux (TER) ne sont pas autorisés à circuler en Espagne pour des raisons d'homologation du matériel roulant. Cette situation entrave la mobilité transfrontalière propre des citoyens et conduit à une surutilisation de la voiture individuelle.
Dans le cadre du présent appel, la Région Nouvelle-Aquitaine se verra attribuer le soutien d’un expert dans le but de résoudre cet obstacle transfrontalier de nature juridique et administrative.