Recherche
15211 résultats correspondent à votre recherche.
Présidée par Philippe Duron, ancien député et ancien Président du Conseil Régional de Basse Normandie, l’Ihedate réunit des professionnels concernés par les enjeux territoriaux – élus, responsables d’entreprises, acteurs sociaux et associatifs, journalistes, fonctionnaires d’Etat et de collectivités territoriales. La formation organisée à Bruxelles avait pour objectif de présenter aux participants les enjeux soulevés dans le 8ème rapport sur la cohésion "La cohésion en Europe à l’horizon 2050", qui met en évidence, sur la base d’un grand nombre d’indicateurs économiques, sociaux et territoriaux, l’évolution de la cohésion territoriale en Europe ces dix dernières années.
Cette journée d’étude a été animée par des intervenants du Parlement européen, de la Commission européenne, de la Représentation de la France auprès de l’UE (RP) et de la Conférence des Régions Périphériques et Maritimes (CRPM). Les travaux ont débuté par la présentation du rapport sur la cohésion puis sur les évolutions de la politique de cohésion, principale politique de solidarité mais aussi d’investissement de l’Europe, au gré des programmations successives. Cette journée a également été l’occasion de soulever la question de l’impact des crises sur l’avenir de cette politique à plus long terme. En effet, alors que la programmation de 21-27 des fonds structurels démarre, le 8ème rapport sur la cohésion ouvre d’ores et déjà le débat sur l’avenir.
La deuxième partie de la journée a été consacrée au point de vue d’un réseau de régions européennes, la CRPM, et à une table-ronde offrant un retour d’expériences croisées entre la Nouvelle-Aquitaine et la Région Wielkopolska. Ces interventions ont permis d’apporter aux participants une illustration concrète de l'utilisation des fonds de la politique de cohésion et de mettre en évidence les différences, mais les similitudes aussi, entre les problématiques d'une région de l'Ouest et celles d'une région de l'Est de l'Europe.
Le Conseil Compétitivité de l’Union européenne s’est déroulé les 9 et 10 juin en présence des ministres françaises Agnès Pannier-Runacher (Transition énergétique) et Sylvie Retailleau (Enseignement supérieur et Recherche). La réunion a été l’occasion pour les ministres d’échanger sur trois grandes thématiques: le marché intérieur et l’industrie, la recherche et l’espace. Une série de conclusions, non contraignantes, a été adoptée sur la mise en œuvre des nouvelles Missions du programme Horizon Europe, sur l’application des principes de science ouverte au niveau européen et sur les orientations politiques dans le domaine spatial. Des débats ont également eu lieu concernant le Règlement semi-conducteurs (voir IE du 01/03/2022), la résilience des écosystèmes industriels stratégiques européens, les jeunes chercheurs en temps de crise, et la résilience et la compétitivité du programme spatial de l'UE.
La réunion des ministres européens compétents dans le domaine de la Recherche a permis l’adoption de Conclusions sur le cadre de la mise en œuvre des Missions du programme Horizon Europe. Ces Missions doivent répondre à de grands enjeux tels que le changement climatique, la lutte contre le cancer, la bonne santé des océans, des eaux et des sols, ainsi que des villes neutres pour le climat et intelligentes (voir IE du 28/10/2021). Dans les Conclusions du Conseil figurent des informations sur les mécanismes de gouvernance de ces Missions, sur leur suivi et leur évaluation, sur le lien à faire avec les programmes et initiatives nationales et locales, et sur l’engagement citoyen.
Le Conseil a également adopté un jeu de conclusions sur l’application des principes de science ouverte. La crise sanitaire a notamment mis en lumière le besoin d’avoir accès de manière immédiate aux publications scientifiques. L’enjeu est donc de rendre les derniers résultats de la recherche européenne plus accessibles, et ce, afin d’améliorer la qualité et la transparence en termes de recherche et d’innovation. Les Conclusions du Conseil encouragent une action dans trois domaines: la réforme des systèmes d’évaluation, le renforcement des capacités de publications universitaires et de communication scientifique, et la promotion du multilinguisme pour augmenter la visibilité des travaux de recherche. La mise en œuvre des principes de science ouverte devraient, en outre, rendre les carrières scientifiques plus attrayantes et attirer les jeunes chercheurs en Europe.
Enfin, deux jeux de conclusions ont été adoptés dans le domaine spatial: le premier sur le programme Copernicus à l’horizon 2035 et le second sur une approche de l’UE pour la gestion du trafic spatial. Le Conseil a défini les orientations politiques pour le futur de Copernicus, un programme de l’UE pour l’observation de la Terre dont les données, recueillies par satellite et au sol, permettent d’améliorer la vie des citoyens ou encore de contribuer à la réaction d’urgence, la sécurité alimentaire mondiale et la lutte contre le changement climatique. Concernant la gestion du trafic spatial, dont le volume ne cesse d’augmenter, le Conseil s’est prononcé en faveur du renforcement des capacités de l’UE en matière de surveillance de l’espace et de suivi pour garantir la sécurité et la durabilité de l’espace face à l’intensification des flux. Néanmoins, les ministres ne se sont pas engagés sur un calendrier précis.
Conclusions sur les Missions du programme Horizon Europe
Conclusions sur la science ouverte
Sur le montant total d’environ 392 milliards d’euros sur sept ans du budget européen dédié à la politique de cohésion, la France bénéficiera par cet Accord de partenariat (AP) d’une enveloppe de 18,4 milliards d’euros. Ce budget est réparti en plusieurs fonds et par région. Ainsi, la Nouvelle-Aquitaine bénéficiera d’un soutien total de 876 millions d’euros.
Pour rappel, la stratégie d’attribution des fonds européens doit répondre aux enjeux des territoires et des populations et aux nouveaux défis de l’Union européenne. La programmation 2021-2027 est concentrée sur ces cinq priorités pour une Europe: plus intelligente, plus verte et à zéro émission de carbone, plus connectée, plus sociale, et une Europe plus proche des citoyens.
Dans cet accord, la France disposera de 9.1 milliards d’euros pour mettre en œuvre le Fonds européen pour le Développement Régional (FEDER), dont 736 millions d’euros seront alloués à la Région Nouvelle-Aquitaine.
La France bénéficiera également de 6.7 milliards d’euros du Fonds social européen (FSE+) qui doit favoriser l’accès au marché du travail et l’inclusion sociale, dont 140 millions d’euros pour la Nouvelle-Aquitaine.
Etant autorité de gestion du FEDER et d’une partie du FSE+, la Région aura donc à sa disposition en tout 876 millions d’euros. Après avoir mené une très forte concertation et de nombreuses réunions avec les partenaires, la région a dégagé quatre priorités pour l’utilisation de ces crédits européens:
- Renforcement de la recherche et de l’innovation, par le soutien aux PME et à la transformation numérique de l’ensemble des acteurs publics et privés;
- Accélération des transitions énergétique et écologique;
- Développement des compétences, de la formation et de l’orientation;
Accompagnement renforcé des territoires pour réduire les disparités infrarégionales.
Les programmes y référant sont en cours de discussions. Leurs mises en œuvre débuteront dès obtention de la validation par la Commission européenne, attendue à l'automne.
Seront également attribués à la France, 1,1 milliard d’euros pour la Coopération territoriale européenne (INTERREG) afin de résoudre les problèmes transfrontaliers et développer conjointement le potentiel des différents territoires européens. Sont compris les programmes POCTEFA (Interreg VI-A) entre l’Espagne, la France et l’Andore, également "Atlantic Area"(Interreg VI-B) ou encore SUDOE qui concerne le Sud-Ouest de l’Europe (Interreg VI-B).
Le pays disposera par ailleurs d'1 milliard d’euros dans le cadre du nouveau Fonds pour une Transition Juste (FTJ). Celui-ci a pour but d’accompagner la décarbonation industrielle par un soutien à la diversification et la reconversion économique des territoires. La Région Nouvelle-Aquitaine ne fait pas partie des six régions françaises qui en bénéficieront.
567 millions d’euros proviendront du Fonds européen pour les affaires maritimes et la pêche (FEAMP) et aideront en particulier la petite pêche côtière, les jeunes pêcheurs, les régions ultrapériphériques, et l’aquaculture durable.
Cette validation de l’Accord de Partenariat permettra d’avancer sur les prochaines étapes. A savoir, l’approbation des nouveaux programmes régionaux et le lancement de leur mise en œuvre.
La Maison de l’Europe des Landes WIPSEE, créée en 2019 et localisée à Protonx-sur-l’Adour (40) est une association agréée Economie Sociale et Solidaire (ESS) et Jeunesse. Elle participe à la sensibilisation aux questions européennes dans le territoire des Landes et à la promotion de la mobilité internationale.
Dans le cadre d’un déplacement à Bruxelles, l’équipe de WIPSEE est venue dans les locaux de la représentation auprès de l’Union européenne de la Région Nouvelle-Aquitaine. Ce fût l’occasion d’échanger sur la mobilité des jeunes, l’ESS et les questions environnementales; des thèmes sur lesquels l’association est mobilisée. WIPSEE possède cinq pôles, à savoir un pôle Europe et International, une section infos jeunes, un labo à projets, un campus volontariat et une cité des langues. Ils visent à développer des projets transnationaux sur les enjeux de société et de développement durable, transmettre des informations aux jeunes qui souhaitent se lancer dans un projet, participer à un volontariat ou encore pratiquer des langues étrangères. L’association organise également de nombreux ateliers et se tient à disposition des jeunes pour les accompagner dans leurs démarches de mobilité.
Lors de son passage à Bruxelles, l’équipe de WIPSEE a également eu l’opportunité de rencontrer la députée européenne Laurence Farreng, élue en Nouvelle-Aquitaine et coordinatrice de la Commission Culture, Education, Jeunesse et Sports au Parlement européen.
La Maison de l’Europe des Landes WIPSEE bénéficie de fonds européens issus du programme Erasmus+ et aspire à intégrer le réseau Europe Direct afin de devenir un véritable point de contact relayant les informations de l’Union européenne.
Avec ces mesures prévues pour au moins 20% des zones terrestres et marines, l’Union européenne prend position pour la Convention internationale sur la diversité biologique, dont les négociations se tiendront à Montréal du 7 au 15 décembre prochains.
D’une part, sous cette dénomination de "Loi sur la restauration de la nature", la Commission présente en fait un règlement européen (pouvant ainsi s’appliquer dès la parution, au journal officiel, de sa forme définitive), qui imposera aux Etats membres de l’UE d’adopter des plans nationaux, comprenant des objectifs contraignants et des obligations de restauration de la nature. La Commission pense que ces contraintes réglementaires auront un intérêt économique: elle estime que les investissements dans la restauration de la nature apportent, grâce aux services écosystémiques, un gain économique de 8 à 38 € pour chaque euro dépensé.
D’ici 2030, la Commission vise plusieurs objectifs sectoriels: inverser le déclin des populations de pollinisateurs d'ici à 2030; zéro perte nette d'espaces verts urbains; augmentation de la biodiversité des écosystèmes agricoles (papillons de prairies, oiseaux, et carbone organique dans les sols minéraux); restauration des tourbières, et élimination des obstacles de 25.000 km de cours d'eau; appui aux écosystèmes forestiers (valorisation du bois mort, des forêts inéquiennes plus variées en essences, des oiseaux et des stocks de carbone organique); restauration des habitats marins et d'espèces phares: dauphins, marsouins, requins et oiseaux de mer. La priorité sera donnée aux écosystèmes au plus grand potentiel de stockage du carbone et de prévention des catastrophes naturelles (inondations).
La Commission souhaite que dans le cadre financier pluriannuel actuel, environ 100 milliards € soient disponibles pour ces mesures en faveur de la biodiversité.
D’autre part, la Commission propose d’abroger la Directive 2009/128 sur l’usage durable des pesticides, et la remplacer par un règlement européen. Pour réduire de moitié les pesticides chimiques (qui nuisent autant à la santé humaine qu’à la biodiversité dans les zones agricoles), ce texte incitera les États membres à fixer leurs objectifs nationaux de réduction (sur base de paramètres définis au niveau européen), et les agriculteurs à pratiquer la lutte intégrée contre les organismes nuisibles, en tenant des registres obligatoires des pesticides utilisés. Un soutien leur sera apporté par un plan d'action biologique au niveau européen, et le texte sur les plans stratégiques de la PAC sera amendé pour autoriser les États à financer, pendant cinq ans, les coûts de mise en œuvre de ces nouvelles règles.
Enfin, le règlement interdira tous les pesticides dans les zones sensibles: espaces verts urbains (dont parcs et jardins publics), terrains de jeux, de loisirs ou de sport; sentiers publics; zones protégées (Natura 2000) et zones écologiquement sensibles.
Bruno Dahan, Directeur délégué Aéronautique du Pôle, est venu les 20 et 21 juin 2022 dans la capitale européenne pour des rendez-vous avec différents interlocuteurs travaillant dans le secteur aéronautique. Il a notamment rencontré des représentants des directions générales Défense & Espace, Recherche & Innovation, Transports, Climat de la Commission européenne, M. Riquet, eurodéputé français membre de la commission parlementaire Transports du Parlement européen, les partenariats public-privé de R&I "Clean Hydrogen" et "Clean Aviation", ainsi que le représentant à Bruxelles de l’ONERA (Office national d'études et de recherches aérospatiales). Le Pôle Aerospace Valley étant bi-régional, le programme était organisé par les bureaux de représentation des régions Nouvelle-Aquitaine et Occitanie.
Lors de ces visites, M. Dahan a pu échanger avec ses différents interlocuteurs autour des actualités européennes et leur présenter les initiatives et projets portés par Aerospace Valley. Il a notamment été question de l’initiative MAELE (Mobilité Aérienne Légère et Environnementalement responsable). Lancée en 2020 et coordonnée par le Pôle, MAELE vise à rassembler tous les acteurs régionaux dans le domaine de la mobilité aérienne légère et décarbonée. En cohérence avec le plan régional Maryse Bastié pour l’aéronautique, cette initiative du Pôle Aerospace Valley vise à accélérer la transformation de la filière aéronautique par l’innovation, en réduisant les émissions des aéronefs grâce à des technologies comme l’hydrogène ou les batteries. Des PME comme Elixir Aircraft ou Voltaéro sont des ambassadrices de cette initiative MAELE.
Ce projet régional permet de mettre en œuvre les ambitions que la Commission européenne s’est fixées dans le cadre du Green Deal. Le 24 juin dernier, elle a lancé une nouvelle alliance industrielle portant sur "une aviation à émissions nulles" (AZEA - Alliance for Zero-Emission Aviation). Sur le même modèle que les alliances industrielles déjà lancées, par exemple sur l’Hydrogène, sur les semi-conducteurs, sur le cloud ou encore sur les carburants alternatifs, AZEA vise à regrouper tout organisme intéressé (en l’occurrence les constructeurs d’aéronefs, les PME et start-ups du secteur aéronautique, les fournisseurs d’énergie et de carburants, les compagnies aériennes, les aéroports, les organismes de certification, etc.) pour recenser les obstacles, définir une feuille de route conjointe, élaborer des recommandations, et promouvoir les projets d’investissements. Il est possible de rejoindre AZEA en signant en ligne la Déclaration de l’Alliance.
Initiative MAELE by Aerospace Valley
Alliance industrielle européenne pour une aviation à émissions nulles
Les représentants des Régions françaises, dans une délégation conduite par Loïg Chesnais-Girard, Président de la Région Bretagne, et Lydie Bernard, Vice-Présidente de la Région Pays de la Loire, sont allés à la rencontre des institutions européennes pour évoquer la mise en œuvre de la prochaine PAC à partir de 2023 et défendre, dans une vision de plus long terme, la nécessité d’une Europe agricole et alimentaire qui s’appuie sur ses territoires.
La succession des crises - sanitaire, climatique et géopolitique - auxquelles sont confrontées les filières agricoles et alimentaires, conforte l’idée déjà portée par les Régions dans leur Livre Blanc de concilier une nécessaire transition des systèmes agricoles et alimentaires, le maintien de la production des matières premières agricoles sur le territoire de l’Union, et de renforcer l’autonomie énergétique et industrielle de transformation alimentaire. Jean-Pierre Raynaud a également, dans ce contexte, échangé avec le député européen Eric Andrieu sur les outils européens de gestion de crise susceptibles de venir appuyer les filières volailles et palmipèdes durement touchées par la grippe aviaire.
Convaincus que la démocratie européenne passe par la reconnaissance de ses territoires et des entités politiques qui les composent, les élus des Régions françaises ont fait valoir la nécessité de maintenir un lien direct entre les Régions, autorités de gestion d’une partie du second pilier de la PAC, et les représentants de la Commission sur la prochaine PAC qui entrera en vigueur en janvier 2023, mais également dans la préparation de la PAC post 2027, pour laquelle les discussions devraient s’engager dès 2024.
Ce déplacement a également été l’occasion de sensibiliser les élus sur les projets de règlements européens à venir sur l’utilisation durable des pesticides, les systèmes alimentaires durables et l’agriculture bas carbone, projets susceptibles de venir impacter les propres politiques des Régions en faveur de l’origine et de la qualité des produits, et de la transition climatique. L’occasion pour Jean-Pierre Raynaud, de rappeler l’ambition régionale pour une transition agroécologique, portée par la feuille de route régionale NéoTerra, et les besoins en matière de recherche et innovation qui en découlent, comme l’illustre la récente adoption d’une feuille de route régionale biocontrôle et biosolutions. Sur ce point, la Commission européenne a indiqué travailler sur un processus d’homologation simplifié pour les produits de biocontrôle.
Le Livre blanc des Régions pour une agriculture durable et une alimentation responsable (2018)
La Commission européenne, qui organisait ces travaux, a en effet identifié la Région Nouvelle-Aquitaine comme une des autorités publiques les plus en pointe en Europe, en matière de diagnostic des effets climatiques sur le territoire régional et local. La Région était l’une des six autorités locales françaises sélectionnées par la Commission comme premiers signataires de la Charte de cette Mission, s’engageant à améliorer la connaissance sur les effets du changement climatique.
Lors de cette table ronde hébergée au Comité de Régions, comportant des présentations des observatoires européens de données environnementales comme Eionet ou la gestion des risques de submersion aux Pays-Bas, M. Riou a témoigné des dernières données régionales, établies par le comité scientifique régional sur l’adaptation au changement climatique, Acclimatera. Il a présenté les principaux axes de travail de Néo Terra, notamment en matière de production de biométhane et d’appui à la biodiversité, en lien avec le rapport du comité scientifique Ecobiose sur la valeur économique des écosystèmes.
Ce déplacement a également été l’opportunité pour le Vice-Président de la Région Nouvelle-aquitaine de rencontrer les principaux responsables du Green deal à la Commission européenne. La complémentarité de Neo Terra avec les grands objectifs du green deal a permis des échanges constructifs sur les interactions entre les normes européennes et l’échelon local en matière d’agro-écologie, de soutien à la biodiversité comme de diversification des énergies durables.
M. Riou a également rencontré le conseiller en charge de l’environnement à la Représentation Permanente de l’Union Européenne dans le cadre de la présidence française du Conseil européen de ce 1er semestre 2022.