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En application de son plan d’action "Zéro pollution 2050", la Commission a lancé le 23 mai une consultation sur sa proposition de plan d’action de gestion des nutriments. La stratégie "De la ferme à la table" et la stratégie en faveur de la biodiversité ont en effet fixé l’objectif de réduire de moitié les pertes de nutriments à l’horizon 2030.
Il s’agit d’examiner l’ensemble des cycles de l’azote et du phosphore, qui couvrent tous les milieux environnementaux (air, eau, mer et sols) et tous les secteurs qui sont sources de pollution. Les dépôts d’émissions atmosphériques causent l’acidification et l’eutrophisation des sols, ce qui nuit à la biodiversité. L’oxyde nitreux (dont 70 % des émissions sont dus à l’agriculture) est un gaz à effet de serre important, à fort potentiel de réchauffement, et qui appauvrit la couche d’ozone.
Par ailleurs la production de ces éléments rencontrera des difficultés en matière de ressources disponibles. La production industrielle d’engrais chimiques consomme 1 à 2 % de l’énergie produite dans l’UE. Le phosphore figure sur la liste des matières premières critiques, et les approvisionnements futurs suscitent des inquiétudes.
Deux tiers des niveaux excessifs d’azote et de phosphore dans les eaux proviennent des engrais agricoles, et un tiers des eaux usées industrielles et domestiques. Les réduire sur le plan agricole impliquera de diminuer d’au moins 20 % l’utilisation d’engrais, par des réductions de leur concentration, et par une fertilisation équilibrée.
Le plan d’action définitif est attendu pour la fin de l’année 2022.
La consultation est ouverte jusqu’au 15 aout prochain.
En application de son plan d’action "Zéro pollution 2050", la Commission a lancé le 23 mai une consultation sur sa proposition de plan d’action de gestion des nutriments. La stratégie "De la ferme à la table" et la stratégie en faveur de la biodiversité ont en effet fixé l’objectif de réduire de moitié les pertes de nutriments à l’horizon 2030.
Il s’agit d’examiner l’ensemble des cycles de l’azote et du phosphore, qui couvrent tous les milieux environnementaux (air, eau, mer et sols) et tous les secteurs qui sont sources de pollution. Les dépôts d’émissions atmosphériques causent l’acidification et l’eutrophisation des sols, ce qui nuit à la biodiversité. L’oxyde nitreux (dont 70 % des émissions sont dus à l’agriculture) est un gaz à effet de serre important, à fort potentiel de réchauffement, et qui appauvrit la couche d’ozone.
Par ailleurs la production de ces éléments rencontrera des difficultés en matière de ressources disponibles. La production industrielle d’engrais chimiques consomme 1 à 2 % de l’énergie produite dans l’UE. Le phosphore figure sur la liste des matières premières critiques, et les approvisionnements futurs suscitent des inquiétudes.
Deux tiers des niveaux excessifs d’azote et de phosphore dans les eaux proviennent des engrais agricoles, et un tiers des eaux usées industrielles et domestiques. Les réduire sur le plan agricole impliquera de diminuer d’au moins 20 % l’utilisation d’engrais, par des réductions de leur concentration, et par une fertilisation équilibrée.
Le plan d’action définitif est attendu pour la fin de l’année 2022.
La consultation est ouverte jusqu’au 15 aout prochain.
La Commission européenne a soumis à consultation son projet d’acte délégué relatif à la directive sur les énergies renouvelables de 2018.
L’acte délégué visera à établir une méthode d'évaluation des réductions des émissions de gaz à effet de serre réalisées grâce: aux carburants liquides et gazeux renouvelables destinés aux transports, d'origine non biologique, et aux carburants à base de carbone recyclé.
La consultation publique est ouverte jusqu’au 17 juin 2022.
La Commission européenne a soumis à consultation son projet d’acte délégué relatif à la directive sur les énergies renouvelables de 2018.
L’acte délégué visera à établir une méthode d'évaluation des réductions des émissions de gaz à effet de serre réalisées grâce: aux carburants liquides et gazeux renouvelables destinés aux transports, d'origine non biologique, et aux carburants à base de carbone recyclé.
La consultation publique est ouverte jusqu’au 17 juin 2022.
La Commission européenne a soumis à consultation son projet d’acte délégué relatif à la directive (UE) 2018/2001 qui encourage l’utilisation des énergies renouvelables dans l’UE. Pour le secteur des transports, elle fixe un objectif distinct de 14% d’énergies renouvelables. Les fournisseurs de carburants peuvent utiliser des carburants renouvelables (liquides et gaz) d’origine non biologique pour atteindre cet objectif.
L’acte délégué vise à définir des exigences applicables à l’électricité d’origine renouvelable destinée à produire ces carburants renouvelables pour le transport, de sorte que ceux-ci puissent être considérés comme totalement renouvelables.
La consultation publique est ouverte jusqu’au 17 juin 2022.
La Commission européenne a soumis à consultation son projet d’acte délégué relatif à la directive (UE) 2018/2001 qui encourage l’utilisation des énergies renouvelables dans l’UE. Pour le secteur des transports, elle fixe un objectif distinct de 14% d’énergies renouvelables. Les fournisseurs de carburants peuvent utiliser des carburants renouvelables (liquides et gaz) d’origine non biologique pour atteindre cet objectif.
L’acte délégué vise à définir des exigences applicables à l’électricité d’origine renouvelable destinée à produire ces carburants renouvelables pour le transport, de sorte que ceux-ci puissent être considérés comme totalement renouvelables.
La consultation publique est ouverte jusqu’au 17 juin 2022.
Le Parlement européen avait décidé en septembre 2020 de mettre en place une commission parlementaire spéciale, présidée par l’eurodéputé roumain Dragoş Tudorache (Renew), pour analyser les bénéfices de l’IA et son impact sur l’économie européenne, et en comprendre les risques.
Après des rapports thématiques sur l’éthique, la responsabilité en cas de dommages, et la propriété intellectuelle, le rapport final de la commission parlementaire, adopté le 3 mai, préconise des mesures pour que l’Europe soit à la pointe technologique de l’IA tout en respectant un modèle qui corresponde aux valeurs européennes.
Pour les eurodéputés, être une puissance mondiale implique une position de leader en matière d’intelligence artificielle. Pour que les technologies IA contribuent pleinement à la compétitivité de l’économie, le Parlement européen demande qu’un cadre réglementaire harmonisé soit mis en place pour éviter la fragmentation des modèles actuels. Le développement de l’IA doit être lié au marché unique numérique et au déploiement des infrastructures numériques. Enfin, le rapport estime indispensable que l’Union européenne développe son propre modèle d’IA, un modèle qui ne soit pas influencé par les standards américains ou chinois, mais par les valeurs et droits fondamentaux de l’UE: modèle numérique centré sur l’humain, protection de la vie privée, accès à l’éducation, protection des données personnelles, etc.
Présentation des programmes pour 2021-2027
Prenez connaissance des grandes orientations des 4 nouveaux programmes de coopération territoriale européenne de la Nouvelle-Aquitaine présentés au séminaire du 16 mai à Bordeaux
Brochure "Coopération territoriale européenne en Nouvelle-Aquitaine 2021/2027"