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Les antennes territoriales de la Région sont en place depuis 2017 et ont notamment pour rôle de représenter le Conseil régional à l’échelle départementale et d’orienter les partenaires vers les bons interlocuteurs. C’est dans ce cadre que s’inscrivait l’événement auquel ont pris part une vingtaine de participants, issus de collectivités territoriales, de services de l’Etat, de pays, de structures de la formation professionnelle, de missions locales. Deux élues du Conseil régional, Colette Langlade et Nathalie Arnaud, ont également participé aux échanges. 

A cette occasion, les outils et les ressources pour les acteurs des territoires en matière d’action extérieure ont été présentés par la Direction de la Coopération.

Par la suite, la représentation de la Région à Bruxelles a détaillé ses quatre grandes missions, son positionnement dans l’écosystème européen et les enjeux d’actualité au niveau de l’UE. 

Enfin, le périmètre des fonds européens gérés par la Région Nouvelle-Aquitaine a été rappelé, complété d’un état d’avancement de leur consommation.

Au cours de la discussion, les questions ont porté sur le fonctionnement des fonds européens en termes de versements, leur répartition géographique et le niveau de la programmation. Le positionnement du lobbying français à Bruxelles vis-à-vis de celui d’autres pays, ainsi que les liens entre le ministère des Affaires étrangères et la Région, ont également été abordés. 

D’autres petits déjeuners sur le même thème sont prévus au cours du second semestre dans les Antennes des Pyrénées Atlantiques, des Deux Sèvres et de Charente Maritime. 

Promouvoir les projets de la Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles

Développer des coopérations | La région Nouvelle-Aquitaine
 

Les appels à projets 2024 du MIE ont été lancés en septembre 2024 pour moderniser les infrastructures de transport en Europe. La majeure partie du MIE a été allouée lors des trois premières années (2021-2023) de la période de programmation. Le budget disponible pour 2024 était alors de 2,5 milliards d’€. 

Ces subventions européennes visent à améliorer les lignes ferroviaires, relier les grandes villes européennes et achever le réseau transeuropéen de transport (RTE-T). Les appels du MIE permettent de cofinancer des études, des travaux ou les deux, en fonction des appels. Le MIE finance en majorité des projets de transport ferroviaire, avec 77% du budget total disponible alloué.

32 projets vont recevoir des financements pour mettre en œuvre le système européen de gestion du trafic ferroviaire (ERTMS) sur les trains et les voies, pour améliorer la sécurité ferroviaire et l’interopérabilité transfrontalière. Le MIE finance également des projets de modernisation du transport maritime et fluvial. Le Grand Port Maritime de Bordeaux est l’un des deux seuls ports français lauréats de l’appel MIE 2024. Il recevra un financement européen de 1,4M€ pour son projet de modernisation et d’extension de son système de surveillance du trafic maritime (VTS). 

Parmi les projets sélectionnés, on trouve également un dossier porté par SNCF Réseau sur le renforcement de la résilience hydraulique du réseau ferroviaire français. L’objectif est de s’assurer que les infrastructures restent opérationnelles lors d’évènements météorologiques extrêmes. Le projet recevra 6,3M € et se concentrera sur les corridors Atlantique et Méditerranéen du RTE-T, en particulier l’axe Paris-Bordeaux-Espagne en ce qui concerne la Nouvelle-Aquitaine. 

Le projet MATIS est aussi sélectionné et vise à déployer la technologie ITS (système de transport intelligent pour le transport routier) sur quatre corridors RTE-T (Méditerranéen, Atlantique, Mer du nord Méditerranéen, Baltique-Adriatique) qui traversent la France, l’Espagne, l’Italie et le Portugal. 

Les lauréats doivent désormais signer leur convention de subvention avec l’agence CINEA en charge de ce fonds européen. Les accords devraient être finalisés d’ici fin octobre. 

Communiqué de presse pour l’annonce des lauréats

Liste des projets sélectionnés 
 

Garante de notre souveraineté alimentaire, la PAC soutient les agriculteurs face aux défis auxquels ils sont confrontés: changement climatique, renouvellement des générations, gestion de l’eau, préservation de la biodiversité et maintien de l’élevage.

Pour la prochaine programmation, le Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine appelle à une PAC ambitieuse avec un budget renforcé qui tienne compte de l’inflation. 

La Région Nouvelle-Aquitaine réaffirme son attachement à une PAC construite autour de deux piliers: un premier pilier notamment constitué des aides directes et des aides sectorielles (FEAGA - Fonds européen agricole de garantie) et un second pilier dédié au développement rural (FEADER - Fonds européen agricole pour le développement rural). C’est pourquoi, la Région s’oppose à la proposition de la Commission européenne de fusionner la PAC avec d’autres fonds, dans un fonds unique géré au niveau national. La PAC doit rester une politique commune, garante de l’unité européenne avec une identité propre et des moyens dédiés.

Dans cette architecture préservée, le Conseil régional demande un renforcement des moyens alloués au second pilier de la PAC, outil essentiel pour l’installation, la modernisation et la compétitivité des exploitations, l’accompagnement des transitions, ainsi que l’appui aux territoires ruraux. Elle entend continuer à jouer un rôle central dans la gestion et la mise en œuvre du second pilier pour adapter les aides aux réalités des territoires et des filières. Elle insiste également sur l’urgence à simplifier les règles, dans une relation fondée sur la confiance avec les bénéficiaires.

La Région plaide enfin pour que la future PAC encourage la transition agroécologique en sécurisant tant techniquement qu’économiquement les changements de pratiques.

Elle souhaite ainsi garder un lien fort avec la Commission européenne pour construire une PAC plus efficace au service de ses territoires.

Dans les mois à venir, la Région Nouvelle-Aquitaine va s’investir fortement dans la construction des dispositifs de la prochaine PAC au niveau européen, national et régional.
 

Les inscriptions au grand événement européen consacré à la politique de cohésion sont désormais ouvertes.

L’édition 2025 de l'EURegionsWeek qui se déroulera à Bruxelles du 13 au 15 octobre sera composée de plus de 200 événements, dont des sessions politiques de haut niveau, des ateliers thématiques et des sessions interactives organisées autour des thèmes suivants:

-    Cohésion et croissance pour l'avenir: comment la politique de cohésion peut favoriser la croissance durable et l'innovation dans toute l'Europe ?
-    Le droit de rester: libérer le potentiel de chaque territoire: les moyens de garantir que les gens puissent s'épanouir dans leur propre région.
-    Les villes construisent l'avenir: le rôle des villes dans la construction d'un avenir durable et inclusif.

Vous pouvez désormais sur ce lien créer votre compte, découvrir le programme et organiser votre agenda personnalisé.

À noter, les inscriptions seront clôturées le 30 septembre 2025.

Vous pouvez vous abonner à la lettre d'information de la #EURegionsWeek, consulter régulièrement le site web de l'événement pour des mises à jour et regarder la vidéo de présentation pour les inscriptions.

Pour toute question, contactez le secrétariat à l'adresse suivante: contact@euregionsweek.eu 
 

Comme en témoigne le slogan choisi pour cette présidence, "Une Europe forte dans un monde en changement", le Danemark prend la tête du Conseil dans une période de conflits internationaux et d’incertitude quant aux relations entre l’UE et les Etats-Unis.

Longtemps réputée "eurocritique", la Première ministre danoise Mette Frederiksen affiche désormais un engagement clair en faveur du projet européen. Ce tournant reflète également une dynamique intérieure: selon de récentes enquêtes d’opinion de la Fondation Schuman, les citoyens danois manifestent un soutien croissant à l’UE, notamment influencés par la proximité du conflit ukrainien et les tensions mondiales.

Par ailleurs, cette présidence intervient à un moment stratégique puisque la Commission européenne a présenté ses propositions budgétaires (voir article La Commission européenne dévoile sa proposition pour le prochain cadre financier pluriannuel 2028-2034 | Europe (europe-en-nouvelle-aquitaine.eu)), amorçant près de deux années de négociations afin de déterminer le cadre financier pluriannuel (CFP) pour la période 2028-2034.

Souhaitant se saisir rapidement du sujet, la présidence a programmé des réunions dès les premières semaines. Le 3 juillet, la cérémonie officielle d’ouverture s’est tenue au Danemark. Les jours suivants, les ministres danois ont détaillé leurs priorités au Parlement européen.

Les trois axes principaux qui structurent le programme danois sont les suivants:

  • Sécurité et affaires étrangères: la présidence soutient une politique de défense européenne plus robuste, l’augmentation des investissements militaires, et la poursuite de l’aide financière à l’Ukraine. L’élargissement de l’UE reste un objectif affirmé, avec la poursuite des négociations d’adhésion de l’Ukraine, de la Moldavie et des Balkans occidentaux.
  • Compétitivité et économie: le Danemark met l’accent sur l’innovation technologique (IA, technologies quantiques, biotechnologies, spatial), la sécurité d’approvisionnement en matières premières, et la modernisation du marché intérieur.
  • Transition écologique: le Pacte vert européen reste un cadre de référence. La neutralité climatique à l’horizon 2050, la protection des ressources naturelles et la durabilité des transports sont au cœur de la stratégie danoise. Une attention particulière est portée à la simplification réglementaire dans les secteurs de l’agriculture et de la pêche, pour concilier innovation et durabilité.

Présidence danoise du Conseil de l'Union européenne

Feuille de route pour un marché de crédits Nature

La Commission européenne a lancé le 7 juillet une consultation publique en vue de défendre la protection et la restauration de la biodiversité et de la nature. 

Elle soumet ainsi à réflexion une feuille de route sur son projet de crédits Nature, qui pourraient être générés par les acteurs qui entreprendraient des actions de soutien de la nature, par exemple un groupe d'agriculteurs ou de gestionnaires fonciers travaillant ensemble à la restauration ou à la valorisation d'un espace naturel.

Un organisme de certification indépendant examinerait le plan de leur projet, leurs méthodes de mise en œuvre et les impacts escomptés. Un projet conforme à la certification appropriée recevrait un certificat. 

Ces "crédits" obtenus pourraient ensuite être vendus à des entreprises (par exemple, des entreprises agroalimentaires, des assureurs), à des pouvoirs publics ou à des citoyens souhaitant contribuer à la restauration de la nature, atteindre des objectifs de développement durable, investir dans la réduction des risques naturels ou soutenir les écosystèmes locaux.

La consultation est ouverte jusqu’au 30 septembre.

Pour répondre à la consultation publique 
 

Feuille de route pour un marché de crédits Nature

La Commission européenne a lancé le 7 juillet une consultation publique en vue de défendre la protection et la restauration de la biodiversité et de la nature. 

Elle soumet ainsi à réflexion une feuille de route sur son projet de crédits Nature, qui pourraient être générés par les acteurs qui entreprendraient des actions de soutien de la nature, par exemple un groupe d'agriculteurs ou de gestionnaires fonciers travaillant ensemble à la restauration ou à la valorisation d'un espace naturel.

Un organisme de certification indépendant examinerait le plan de leur projet, leurs méthodes de mise en œuvre et les impacts escomptés. Un projet conforme à la certification appropriée recevrait un certificat. 

Ces "crédits" obtenus pourraient ensuite être vendus à des entreprises (par exemple, des entreprises agroalimentaires, des assureurs), à des pouvoirs publics ou à des citoyens souhaitant contribuer à la restauration de la nature, atteindre des objectifs de développement durable, investir dans la réduction des risques naturels ou soutenir les écosystèmes locaux.

La consultation est ouverte jusqu’au 30 septembre.

Pour répondre à la consultation publique 
 

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Coopération entre Espagne, Andorre et France

Votre projet est situé dans les Pyrénées-Atlantiques ? Il est en collaboration avec une zone frontalière du Nord de l'Espagne ou encore Andorre ? Il concerne des thématiques : innovation et compétitivité, environnement ou emploi et formation ?

Il peut alors être éligible au programme POCTEFA. 

Pour en savoir plus sur le programme POCTEFA