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Le jeudi 20 février 2020 a eu lieu à Bordeaux, la 2ème Journée de Concertation (JOC).
Cette instance technique, mise en place dans le cadre du dispositif de concertation pour la future programmation, a permis d’échanger avec nos partenaires sur l’architecture du futur programme régional FEDER-FSE (V0) avec une approche territoriale interfonds.
Documents des groupes thématiques:
- JOC Compétitivité des entreprises (APPLICATION/OCTET-STREAM - 3.54 Mo)
- JOC Recherche-Innovation (APPLICATION/OCTET-STREAM - 5.54 Mo)
- JOC Formation-Emploi (APPLICATION/OCTET-STREAM - 2.65 Mo)
- JOC Numérique (APPLICATION/OCTET-STREAM - 4.98 Mo)
- JOC Approche territoriale (APPLICATION/OCTET-STREAM - 3.52 Mo)
- JOC Environnement (APPLICATION/OCTET-STREAM - 2.58 Mo)
- JOC Transition énergétique (APPLICATION/OCTET-STREAM - 4.96 Mo)
En 2019, plus de 200 événements ont eu lieu, ouverts à plus de 37 000 visiteurs, pour mettre en valeur la place de l'Europe au quotidien en Nouvelle-Aquitaine.
Toute structure est invitée à évoquer cette Europe de proximité à l’occasion de portes ouvertes, d’ateliers pédagogiques, de conférences, de dégustations, de projections, de valorisations de jumelages entre collectivités, etc.
L’ensemble des événements de cette 11ème édition qui seront recensés par la Région, seront labellisés et bénéficieront de la campagne de promotion du "Joli Mois de l'Europe en Nouvelle-Aquitaine 2020". Les propositions peuvent être soumises jusqu’au 14 avril.
Consulter le site du Joli Mois de l'Europe
Consulter le guide pour le montage d'un événement
Pour plus de renseignements, contactez : ue.communication@nouvelle-aquitaine.fr ; 05.56.56.19.60 (Bordeaux et Poitiers) - 05.87.21.30.94 (Limoges)
La Vice-Présidente a intégré le CdR en 2016. Rapportrice d'un avis sur la nécessité de mettre en place des ressources propres pour alimenter le budget européen, elle est devenue présidente du groupe "Budget" en 2017.
Egalement intéressée par le sujet du transport, qui fait partie du portefeuille de la COTER, elle a porté un avis sur le Mécanisme pour l’interconnexion en Europe dans lequel elle défend notamment la nécessité d’un soutien de l’Union européenne aux chaînons manquants, comme par exemple la ligne ferroviaire Pau-Canfranc.
En décembre 2018, Isabelle Boudineau a été élue présidente de la COTER, une fonction qu’elle a mené jusqu'à la fin du mandat du CdR, en janvier dernier.
La période 2020-2025 du Comité européen des Régions s’ouvre avec un renouvellement de près de 30% de ses membres. Le 13 février dernier, la Coter s'est réunie pour élire son nouveau président. Fait rare dans l'histoire du CdR - où l'usage veut que l’on ne puisse pas se représenter quand on a déjà présidé une commission - Isabelle Boudineau a été reconduite par ses pairs, en reconnaissance de son engagement et pour poursuivre son action.
Elle a réagi en ces termes à sa réélection: "Je suis honorée de la confiance qui m'a été donnée à nouveau par mes collègues de l'ensemble des collectivités de l'Union européenne. Ce grand honneur va de pair avec une grande responsabilité: celle de faire en sorte que l'Union européenne se dote, à partir de 2021, d'une politique de cohésion bien financée pour l'ensemble des régions européennes. Sans solidarité européenne et réduction des inégalités, il ne sera pas possible de redonner confiance aux Européens, dans le projet européen et un destin commun".
Pour ce nouveau mandat au CdR, la délégation française est composée de vingt-quatre membres titulaires dont six membres de conseils municipaux, six membres de conseils départementaux et douze membres de conseils régionaux nommés par leurs associations nationales respectives. La délégation est renforcée par vingt-quatre membres suppléants respectant la même répartition.
La Région pourra compter sur quatre néo-aquitaines, dont deux titulaires, Isabelle Boudineau, et Sylvie Marcilly, Conseillère départementale de Charente-Maritime. Sont également nommées deux suppléantes, Martine Pinville, membre du Conseil Régional et Françoise Mesnard, Maire de Saint-Jean d’Angély et également Conseillère régionale.
Rencontres avec la Direction Générale de l’Agriculture de la Commission, des députés européens, des représentants d’organisations agricoles européennes, un think tank, la Représentation Permanente de la France, etc. deux journées intenses durant lesquelles la délégation a pu mieux appréhender le fonctionnement des Institutions européennes au regard des débats en cours sur l’avenir de la PAC et de son budget. Car l’actualité était brûlante: le Président du Conseil européen, Charles Michel, venait de dévoiler sa proposition pour le futur budget de l’Union 2021-2027, dans laquelle le deuxième pilier de la PAC apparait raboté de 7,5 Milliards € par rapport à la proposition finlandaise de décembre dernier. En outre, la Commission ayant présenté en fin d’année dernière le Pacte Vert pour l’Europe (Green Deal), qui sera décliné en stratégies "Biodiversité" mais aussi "De la ferme à la table", se pose la question du rôle et de la place de la future PAC pour répondre aux défis qui seront déclinés dans ses documents.
La délégation a défendu le maintien d’un deuxième pilier fort, à même de pouvoir accompagner les changements de pratiques, le financement de l’émergence et de l’accompagnement de projets innovants, agro-écologiques, territoriaux, etc. Plaidant pour l’agriculture de groupe, qui met en œuvre, sécurise et diffuse la transition agro-écologique, elle a appelé à ce que l’Union européenne oriente ses soutiens à l’investissement des exploitations vers le collectif.
Consulter le site de la Fédération Régionale des CUMA Nouvelle-Aquitaine
Cette rencontre a été l’occasion de lui présenter les filières agricoles et agroalimentaires de Nouvelle-Aquitaine, piliers majeurs de l’économie régionale, faisant de notre région une des premières en Europe en valeur et la plaçant à la première place en France aussi bien pour l’élevage que pour les signes officiels de qualité. Il s’est également entretenu avec lui de la feuille de route Néo Terra liée à la transition énergétique, écologique et agricole, dont une des onze ambitions affichées concerne la transition agro-écologique de notre agriculture régionale à l’horizon 2030.
C’est dans ce nouveau contexte que se tiendra, au salon de l’agriculture de Nouvelle-Aquitaine à Bordeaux, la conférence permanente de l’agriculture organisée par la Région, à laquelle Jean-Pierre Raynaud a invité le Commissaire le 19 mai à intervenir lors d’un débat sur la transition agro-écologique agricole.
Le Commissaire s’est montré particulièrement intéressé par cette démarche, qui a fait l’objet d’une longue concertation et qui a abouti à une feuille de route dont les objectifs sont partagés par l’ensemble des acteurs du territoire. Néo Terra résonne en effet au niveau européen, alors que l’ambition politique de la nouvelle Commission s’inscrit dans une démarche comparable avec le "Green Deal".
Le budget d’Horizon 2020 est le plus important parmi les programmes gérés directement par la Commission européenne, et il bénéficie à de nombreuses structures régionales: universités, entreprises, centres de recherche, CHU, collectivités territoriales, etc. Depuis 2014, on dénombre plus de 450 projets soutenus en Nouvelle-Aquitaine, et un montant de subventions attribuées aux néo-aquitains d’environ 235 millions €. Le prochain programme Horizon Europe 2021-2027 est attendu avec un budget équivalent par rapport à la période actuelle, au mieux en légère hausse.
Le Ministère français de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) souhaite encourager les acteurs français à mieux exploiter les opportunités offertes par le programme Horizon, et a lancé un Plan d’amélioration de la participation française aux dispositifs européens de financement de la recherche et de l’innovation. Répondant à cet appel, la Région Nouvelle-Aquitaine et l’Agence régionale de Développement et d’Innovation ont pris l’initiative d’organiser une déclinaison régionale.
Les trois axes du Plan français ont structuré les échanges de cette journée. Les participants ont ainsi été invités à travailler en petits groupes sur les progrès à faire pour mieux informer les acteurs sur les opportunités de financement et les inciter à y répondre, pour améliorer le dispositif d’accompagnement au montage de projets, et enfin pour renforcer les capacités d’influence et la mise en œuvre du programme.

Cette journée a permis d’échanger des idées, de faire remonter des besoins, de renforcer la connaissance mutuelle des organismes néo-aquitains susceptibles de répondre à des appels à projets Horizon et de s’aider mutuellement. Plusieurs axes de travail ont été identifiés, du recensement des compétences, aux dispositifs à mettre en place, par exemple pour mieux diffuser les informations, mieux communiquer sur les projets retenus ou encore améliorer les dispositifs existant d’accompagnement.
Ces journées, qui rassemblent des acteurs du territoire, s’inscrivent dans le dispositif visant à soumettre le programme opérationnel (PO) néo-aquitain à la Commission européenne.
La journée de concertation du 20 février était organisée autour de sept groupes de travail thématiques, afin d’échanger sur les propositions d’enjeux et d’objectifs qui dessineront la future architecture du programme:
- Recherche et innovation
- Compétitivité des entreprises
- Numérique
- Approche territoriale inter-fonds
- Environnement: anticipation du changement climatique et biodiversité (risques/littoral; déchets/économie circulaire; eau/biodiversité)
- Transition énergétique (bâtiments et entreprises; mobilité propre; énergies renouvelables)
- Emploi/Formation/Orientation/Economie sociale et solidaire/Création d’activités
Les sujets mis en débat découlent directement des objectifs stratégiques proposés par la Commission européenne pour la future politique de cohésion.
Dans chaque groupe de travail, après un point d’introduction sur l’actualité européenne incertaine en matières budgétaire et réglementaire, le diagnostic réalisé a été résumé et les partenaires ont pu commenter. Puis, une liste d’enjeux identifiés sur chaque thématique pour le territoire néo-aquitain a été présentée et a fait l’objet de remarques, questions et propositions complémentaires. Enfin, un débat a également été organisé sur le bilan de la programmation 2014-2020 avec les points positifs, les freins et les axes d’amélioration.
Instances techniques, les journées de concertation sont complétées par Conférences des partenaires (COP), en présence de représentants de la Commission européenne et d’élus du territoire, notamment. La troisième COP aura lieu le 17 avril prochain.
Voir le dispositif de consultation mis en place par la Région Nouvelle-Aquitaine
Le Pôle Xylofutur, dont le siège est à Gradignan (33), couvre toute la chaine de valeur du bois et a pour objectif d’accompagner la compétitivité des entreprises du secteur par l’innovation. Dans un contexte européen marqué par l’adoption en décembre dernier du Pacte vert, Marc Vincent, le directeur du Pôle, et les responsables des domaines d’action stratégique (Chimie du Bois, Matériau Bois et Forêt) ont rappelé l’importante contribution du secteur dans la lutte contre le changement climatique et la mise en place de la transition bas-carbone.
Après avoir été accueillis au Bureau de représentation de la Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles, la délégation a rencontré des représentants de la DG CLIMA pour discuter de la mise en œuvre du Pacte Vert à travers les études scientifiques et les programmes de financements. Les échanges avec la DG AGRI et le secrétariat de l’initiative conjointe « Bio-based Industries » (BBI) ont porté principalement sur les opportunités de financements offertes dans le cadre du programme Horizon (gestion des ressources, bioéconomie, aménités, biodiversité, etc.). La délégation a ensuite présenté les activités de Xylofutur à différents acteurs européens: Unité en charge de la politique européenne des clusters et Unité en charge des Matières premières au sein de la DG GROW, Bureau de représentation à Bruxelles de la Région Auvergne-Rhône-Alpes (dans laquelle le Pôle s’est récemment implanté), et des représentants de fédérations européennes de scieries et de syndicats des industries du bois.
Enfin, ce programme de rendez-vous a été l’occasion pour l’équipe de Xylofutur de rencontrer à nouveau deux organismes européens travaillant sur la dimension européenne de la recherche et de l’innovation pour la filière Bois :
- InnovaWood, réseau fédérant une soixantaine d’instituts, de centre de recherche, d’universités, de clusters travaillant sur la recherche et l’innovation pour l’industrie forestière ;
- FTP, plateforme technologique chargée de développer et de mettre en œuvre la vision stratégique de la filière à l’horizon 2040.