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- Enhancing access and uptake of education to reverse inequalities. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-22-2020)
- Culture beyond borders – Facilitating innovation and research cooperation between European museums and heritage sites. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-19-2020)
- Technological transformations, skills and globalization - future challenges for shared prosperity. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-18-2020)
- Society and innovations: understanding the contexts, processes and consequences. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-15-2020)
- Evolving European media landscapes and Europeanisation. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-10-2020)
- Innovative approaches to urban and regional development through cultural tourism. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : TRANSFORMATIONS-04-2019-2020)
- Sustainable practices for the integration of newly arrived migrants into societies. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : MIGRATION-10-2020)
- Narratives on migration and its impact: past and present. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : MIGRATION-09-2020)
- Mapping and overcoming integration challenges for migrant children. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : MIGRATION-05-2018-2020)
- Inclusive and innovative practices for the integration of recently arrived migrants in local communities. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : MIGRATION-04-2020)
- European Competence Centre for the preservation and conservation of Monuments and Site. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-TRANSFORMATIONS-20-2020)
- Mentoring scheme for schools: mainstreaming innovation by spreading the advanced ICT-based teaching practices to a wide circle of schools. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-TRANSFORMATIONS-21-2020)
- To set up a digital accessibility observatory as a forum to take stock of market and technological developments, monitor progress in digital accessibility and provide opportunities for exchange of best practices. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-TRANSFORMATIONS-23-2020)
- Centres/Networks of European research and innovation. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : GOVERNANCE-20-2020)
- Developing deliberative and participatory democracies through experimentation. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : GOVERNANCE-21-2020)
- Support to the networking of national R&I Think Tanks for helping co-shape and share a common perspective on R&I policy across Europe. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : GOVERNANCE-23-2020)
- Curation of digital assets and advanced digitisation. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-TRANSFORMATIONS-12-2018-2020)
- Transformative impact of disruptive technologies in public services. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-TRANSFORMATIONS-02-2018-2019-2020)
- Addressing radicalization through social inclusion. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : SU-GOVERNANCE-09-2020)
- The Common Foreign and Security Policy and the expanding scope of the EU's external engagement. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : SU-GOVERNANCE-07-2020)
- Citizen-centric public services in local and regional administrations. Dépôt des candidatures le 19 mars 2020 (Publié le 5/11/2019 – Réf : DT-GOVERNANCE-22-2020)
Résultat attendu: Hausse des capacités de recherche appliquée et de développement technologique en tant que ressources disponibles pour les entreprises qui ont le projet de commercialiser de nouveaux produits innovants
Ce projet, initié et piloté par la Mission locale de la Creuse, est soutenu financièrement par la Région Nouvelle-Aquitaine, la DDCSPP de la Creuse, la CAF et le Crédit Agricole. Il consiste à rapprocher ces jeunes citoyens de l’Union européenne en les informant et en les sensibilisant à l’action de l’Europe sur les grandes thématiques de leur quotidien, qu’elle accompagne. Une occasion aussi pour eux de se sentir impliqués et acteurs du projet européen.
Plusieurs actions ont ainsi été réalisées tout au long de l’année: cafés des langues afin de favoriser le déblocage linguistique, ateliers de sensibilisation et réalisation d’un court-métrage sur la mobilité, micros-trottoirs auprès des habitants de la Creuse pour recueillir leur opinion sur l’Europe, organisations d’ateliers et de débats, avec la rencontre notamment de l’ancien député européen Jean-Paul Denanot.
L’ensemble de ces activités a permis au groupe de jeunes, âgés de 18 à 25 ans, de préparer son voyage à la rencontre des institutions européennes. Outre la visite du Parlement, les jeunes ont pu échanger avec l’équipe de la Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles. Cela leur a permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’Union, de son action dans leur région et d’en apprendre davantage sur les politiques européennes en matière de jeunesse, de mobilité, et d’environnement. Une manière, finalement, de démystifier cette Europe qui de leur propre aveu semble "à la fois si loin et si proche".
Représentant le regroupement de l’ensemble des acteurs impliqués dans la production agricole biologique (producteurs, organisations de producteurs, transformateurs et distributeurs), l’interprofession bio de la Nouvelle-Aquitaine travaille principalement sur la structuration des filières et l’étude de la chaîne de valeur en agriculture biologique. INTERBIO Nouvelle-Aquitaine est notamment impliqué dans un projet européen visant à renforcer la compétitivité des PME du secteur de l’agriculture biologique.
Au cours de son intervention dans le cadre du panel traitant de l’Organisation Commune des Marchés (OCM) au sein de la PAC, Édouard Rousseau a insisté sur la nécessaire intégration de l’agriculture biologique et des interprofessions de l’agriculture biologique à l’OCM.
Face aux eurodéputés, le Vice-président d’INTERBIO Nouvelle-Aquitaine a défendu le principe d’une reconnaissance juridique des travaux organisés par les organisations interprofessionnelles de l’agriculture biologique. Il a notamment pris pour exemple une étude menée, par l’interprofession, sur l’ensemble de la chaîne de valeur du blé (du champ à la baguette). En reconstituant cette chaîne de valeur à l’échelle régionale et grâce à un travail collectif, il est possible, selon lui, d’assurer une rémunération plus juste et plus équitable des producteurs en amont. L’échelle régionale est pertinente dans la mesure où elle permet aux acteurs de la chaîne économique de disposer d’un territoire suffisamment large pour repérer des volumes importants mais également pour conserver les relations humaines.
De même, l’interprofession soutient la proposition de la Commission européenne d’établir un observatoire couvrant tous les grands secteurs de production afin d’assurer la transparence sur les marchés et la distinction entre les produits conventionnels et biologiques.
Ces échanges s’inscrivent plus largement dans le débat concernant la révision de la PAC pour 2021-2027. (Voir notre brève)
Sur le volet ressources, la Finlande propose une contribution des Etats membres à 1,07% du Revenu National Brut (RNB), un compromis à mi-chemin entre la proposition de la Commission européenne (CE) fixée à 1,114% et le groupe d’Etats ne souhaitant pas dépasser les 1% (Autriche, Suède, Pays-Bas, Danemark). Cependant, cela ne satisfait ni les Etats souhaitant maintenir un niveau équivalent aux moyens budgétaires actuels, ni le "Club des 1%". Au nom du Club, l’Autriche considère que la baisse est "loin d’être acceptable" et que le Conseil "est très loin d’un accord". Face à ce débat, la France, soutenue par l’Espagne, l’Italie et le Portugal, estime que la création de nouvelles ressources propres permettrait de dépasser ce désaccord sur les contributions, mais encore faut-il déterminer lesquelles.
Sur le volet des dépenses, la Finlande propose d’augmenter de 3% la rubrique "ressources naturelles" par rapport à la proposition initiale de la CE. Mais la répartition des moyens alloués au sein de la rubrique ne fait pas l’objet d’un accord. Celle-ci maintient le niveau de la proposition de la CE sur le premier pilier de la PAC, et favorise une augmentation du deuxième pilier, soit 10 milliards € additionnels. Or, les débats continuent entre les tenants d’une augmentation fléchée au profit du premier pilier (France, Lettonie, Irlande) plutôt que sur le second, ainsi que sur la question des convergences externes des paiements directs.
Concernant la cohésion économique, sociale et territoriale, la CE prévoyait déjà une baisse de près de 15% par rapport à la période actuelle et la Finlande aggrave la tendance en diminuant encore de 2% son enveloppe. Une proposition inacceptable pour les seize Etats "Amis de la Cohésion". Néanmoins, certains pays comme la France se félicitent du maintien de la catégorie des régions en transition.
C’est la rubrique sécurité et défense qui subit dans cette proposition un coup de rabot élevé. Érigée comme nouvelle priorité, la Commission, soutenue par le Parlement, souhaitait faire passer son enveloppe de 2 milliards € à plus de 24 milliards €. Or, la Finlande estime qu’une enveloppe de 14,7 milliards € suffirait, avec une diminution de moitié du Fonds européen de défense. Un montant considéré par la Secrétaire d’Etat française, Amélie de Montchalin, comme étant une ligne rouge pour la suite des négociations.
Certains points semblent malgré tout faire consensus, comme l’intégration d’un Fonds pour une transition juste ou la décision de consacrer au moins 25% du budget à la lutte contre le changement climatique. Le principe de mise en place de nouvelles ressources propres semble aussi faire son chemin au Conseil.
Le sommet européen des 12 et 13 décembre n’a pas permis d’avancer sur le CFP au-delà d’un échange de vues. Il faudra donc attendre la Présidence croate au prochain semestre pour les suites des négociations.
Consulter la boîte de négociation CFP de la Finlande
Voir la lettre du Comité européen des Régions et ses partenaires à Charles Michel